La série britannique Vanity Fair diffusée dès ce jeudi sur ARTE.

La série britannique Vanity Fair diffusée dès ce jeudi sur ARTE.

Série créée par Gwyneth Hughes, d’après le roman de William Makepeace Thackeray, Vanity Fair sera diffusée ce jeudi puis le 19 décembre en soirée sur ARTE.

Titre français pour cette production britannique en 7 épisodes, avec Olivia Cooke : La foire aux vanités.

Dans l’Angleterre du début du XIXe siècle, une jeune arriviste se prête à toutes les manigances pour gravir les échelons.

Dans un monde dominé par la vanité, personne n'est plus déterminé à accéder au sommet de la pyramide que la jeune Becky Sharp. Douée d’un charme et d’une intelligence tout aussi redoutables, l’audacieuse parviendra à s’affranchir de sa condition jusqu’à accéder à la cour du roi George IV.

Le début : Alors qu’elle vient de terminer ses études, Becky Sharp (Olivia Cooke), jolie orpheline dans le dénuement, n’a que deux options : trouver un mari fortuné ou accepter un poste de gouvernante dans le Hampshire. Invitée à séjourner chez sa riche camarade Amelia Sedley (Claudia Jessie), promise à George Osborne (Charlie Rowe), la jeune femme entreprend de séduire le frère de son amie, Jos (David Fynn), fraîchement revenu des Indes. Mais ses projets d’union sont bientôt réduits à néant et Becky doit se résoudre à prendre la route du Hampshire...

Gwyneth Hughes, qui a adapté le roman :

"Le roman couvre les trois premières décennies du XIXe siècle et se passe principalement en Angleterre. Il s’agit d’une période progressiste, dans le sillage de la Révolution française. Les barrières de classes se révèlent moins infranchissables : les pauvres peuvent devenir riches, et inversement.

Vanity Fair constitue une métaphore puissante du monde moderne. Chacun s'efforce d'acquérir ce qui ne possède en réalité aucune valeur : seuls l'argent et la position sociale importent. L'héroïne – ou antihéroïne – du roman, Becky Sharp, s'évertue par tous les moyens à s’élever dans la société. Elle va en payer le prix, mais ne baissera jamais les bras. À travers le personnage d’Amelia Sedley, l'amie de Becky, Thackeray suggère également que l’amour romantique, et même l'amour d'une mère pour son enfant, peuvent être empreints de vanité. Au fond, ce roman intemporel traite de la solitude de l'être humain".

Crédit photo © ITV

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