Valérie Damidot et D&Co : "quand je ne prendrai plus aucun plaisir, j'arrêterai"

Elle ne sait pas jusqu'à quand elle aura encore envie d'animer D&Co. Quand elle aura l'impression d'aller à l'usine, et ne prendra plus de plaisir, elle arrêtera.
Elle dit gagner bien sa vie avec l'émission, même si son salaire est inférieur à celui d'autres animatrices, mais elle ne va pas rester pour ça, faisant les choses par passion ou par curiosité.
"La preuve, j'ai donné ma démission à France 3, où j'étais peinarde, en CDI, comme journaliste dans Vie privée, vie publique, pour tenter l'aventure de D&Co". Un coup de poker réussi.
Le journalisme lui manque et elle ne sait pas si l'émission de mélange d'info et de divertissement, dont elle a tourné un pilote, sera à la rentrée sur M6. Quant à Nouvelle star, elle n'a reçu aucune proposition officielle.
Son "bébé" D&Co, elle ne sait pas trop comment le faire évoluer, si ce n'est proposer de nouvelles émissions spéciales. Parmi les pistes possibles, retaper une des nombreuses écoles pourries de France. Ou une maison de retraite. "Ces établissements sont souvent laissés à l'abandon et ne sont plus que des mouroirs pour les personnes âgées". Elle tente de faire un maximum de place à l'écologie (exemples, copeaux de bois ou laine de mouton pour l'isolation), mais regrette que ces matériaux soient encore chers. "ça reste un truc de bobs !"