Paris 16ème sur M6. Les aventures de Lorène Maréchal (personnages).








A suivre dès ce lundi 9 février à 17 heures sur M6 (lundi au vendredi), le feuilleton quotidien Paris 16ème.



Ce célèbre quartier de Paris symbolise à lui seul le pouvoir de l’argent. Derrière les façades de ces immeubles luxueux, vivent des familles riches, mais agitées par des passions dévorantes et des secrets inavouables… C’est cet autre monde que va découvrir Lorène Maréchal, une jeune orpheline désargentée à la recherche de son père, propulsée dans la vie de trois familles : les Cipriani, les Saint-Faye et les Kervadec. Ces trois familles se partagent un empire : Carialis, une compagnie d’armateurs gérée sans scrupules… et avec succès.



Déterminée à retrouver ce père inconnu, Lorène, idéaliste et sincère, va se heurter à la jeunesse dorée parisienne, un monde d’apparences et de faux-semblants où l’argent règne en maître. Mais, derrière les vêtements de luxe et le cynisme de la fortune, Lorène va découvrir des familles déchirées, des vengeances et des secrets, bien loin du bonheur d’être riche que tous veulent afficher…



Les deux premiers épisodes :



01. Lorène Maréchal débarque à Paris pour enterrer ses parents… Catherine Cipriani, une amie d’enfance de sa mère, la prend sous son aile et l’installe chez elle, dans le 16ème arrondissement. Son mari Philippe, dont la société d’armateurs Carialis, est en proie à une affaire de pollution, accepte mal cette intrusion. Est-ce lié au secret que l'oncle de Lorène est sur le point de révéler ?



02. Lorène décide de rester à Paris pour retrouver son père biologique. De son côté, à la veille de sa soirée d’anniversaire regroupant le tout Paris, Ethan n’a plus accès à ses comptes bancaires… Après deux années d’absence, Julien tente de renouer les liens avec Tara, son ex-petite amie.



Le casting et les personnages.



- Les Maréchal.

Lorène, la nièce (Alexandra Naoum)

Fragile et courageuse, elle est subitement plongée dans un autre monde à la mort de ses parents. Ce monde du 16ème est bien loin de ce qu’elle a connu à Dijon, sa ville natale. Mais elle va devoir s’adapter à ces nouveaux codes pour essayer de lever le mystère de ses origines.


Antoine, l'oncle (Richard Gotainer)

Franc et généreux, il dirige la quincaillerie familiale à Dijon. Il sait s’adapter à n’importe quelle situation et va trouver ces gens du 16ème un peu « bizarres ». Mais pour sa nièce Lorène, il va apprivoiser cet univers et essayer de s’y faire une petite place.



- Les Cipriani.

Catherine, la mère (Alexandra Kazan)

Femme au foyer déboussolée et attachante, elle fut, adolescente, la meilleure amie d’Odile, la mère de Lorène. Grande bourgeoise qui n’a jamais travaillé, elle fait ce qu’elle peut pour garder sa famille unie et occupe sa vie à diriger les domestiques, entretenir son corps avec ses amies, et consulter son gourou.



Philippe, le père (Didier Menin)

Brutal et rusé, il dirige d’une main de fer sa société d’armateurs, Carialis. Issu d’une famille pauvre, il s’est fait tout seul à la force du poignet et il en tire une grande fierté. Il veut élever à la dure ses deux fils, mais ceux-ci qui n’ont jamais connu autre chose que leur 16ème natal, ne voient pas les choses comme lui. Son amour pour sa femme Catherine est peut-être sa seule faille.



Ethan, le fils aîné (Baptiste Caillaud)

Cynique et manipulateur, son plaisir est son seul moteur, il n’a aucune limite morale et financière. Il se croit tout permis et ne s’en prive pas. Fils aîné, issu d’un premier mariage, il refuse de travailler avec son père et cherche à exister par lui-même.



Victor, le fils cadet (Axel Philippon)

Sensible et maladroit, il cherche sa place dans la vie et une femme dans son lit. Son manque de confiance en lui est à la hauteur de la peur que lui inspire son père avec lequel les rapports sont violents. Jeune, riche, et paumé, il doit quand même essayer d’avoir son bac…



- Les Saint Faye.


Alfred, le père
(Wadeck Stanczak)

Lâche et instable, aristocrate sur le déclin, il a peur de son ombre et de sa femme qu’il aime pourtant désespérément. Il porte sur les épaules un lourd secret qu’il n’a jamais réussi à oublier.


Alexia, la mère
(Nathalie Richard)

Glaciale et cruelle, elle ne supporte pas que l’on s’oppose à ses caprices et assume une amoralité sans bornes. Mais cette ancienne cocaïnomane au cynisme dévastateur va voir sa vie se retourner contre elle.


Hermione, la fille
(Clémence Bretecher)

Hystérique et jalouse, elle veut mettre le monde à ses pieds et Ethan à son bras. Dotée d’une confiance en elle inébranlable, élevée à la dure par sa mère qu’elle vouvoie, elle ne va pas supporter l’arrivée d’une concurrente en la personne de Lorène.



- Les Kerdavec.


Valérie, la mère
(Marie Riva)
Tara, la fille
(Emilie Granier)
Arthur, le fils (Arthur Mazet)



- Les Lancelots.

Julien Lancelot (Hicham Nazzal)
Idéaliste et engagé, ce jeune avocat, adopté très jeune par les parents de Chris, est prêt à tout pour défendre ce en quoi il croit. Mais pour le moment, il est animé par un désir de vengeance à l’encontre de Philippe Cipriani, une vengeance qui s’enracine dans le passé trouble de cet orphelin.


Chris Lancelot
(Jérémie Lippmann)

Fantasque et décalé, le patron du « Kfé » et meilleur ami d’Ethan est à la recherche de la femme de sa vie. Derrière son bar, il guette celle qui en franchira le seuil et qui pourra l’accompagner dans la vie.




180 jours de tournage ont été nécessaires à la réalisation des 80 épisodes tandis que 2 équipes tournaient simultanément.




9 décors
ont été créés par le chef décorateur Jacques Houdin et son équipe composée de 70 personnes.



7 réalisateurs ont participé à cette aventure dont Renaud Bertrand, réalisateur de la première saison de « Clara Sheller ».



Pas moins de 26 auteurs ont travaillé sur l’écriture de la série.




Le générique de la série « Paris is burning » est interprété par Ladyhawke. C'est cette chanson :







SOURCE M6


Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
À propos
leblogtvnews.com

Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
Voir le profil de leblogtvnews.com sur le portail Overblog

Commenter cet article
N
Le problème, pour commencer, c'est l'horaire. A 17h, le jeune public n'est pas/plus devant son écran de télé. Les jeunes sont, soit en cours, soit sur le chemin de l'école, "en ville" ou devant leur écran de PC.D'autre part, pourquoi vouloir à tout prix faire un day-time soap ? Si France 3 a relancé la mode de ce genre, une chaîne concurrente pourrait tenter de relancer la mode des prime-time soaps dans le style Chateauvallon (pour rester dans les séries françaises). Il faut parfois essayer d'anticiper plutôt que de surfer sur une vague.
Répondre
R
ça sent à des kilomètres à la ronde l'échec d'audience.
Répondre
T
180 jours pour 80 épisodes. Waouh, c'est pire que les enfants travaillant dans les camps de travail en Chine, ça. ça me fait penser à l'Hopital, on insiste sur la réalisation des décors,... pour masquer le bide du scénario. ça me fait penser à Santa Barbara cette guerre des familles. Les Capwell contre les Lockridge, le retour.
Répondre
J
Je viens d'aller voir le generique de la série sur leur site. C'est du copier coller du generique de L Word ! Les personnages découpés du décor sur une musique haché avec des mouvements saccadés. Cest vraiment la même chose que L Word (qui a été diffusé sur Canal+).Pas très originale comme générique en tout cas. Je ne juge pas la série en elle meme, je n'ai pas regardé. 
Répondre
P
Enième bide assuré pour un feuilleton tricolore.
Répondre