Deux épisodes de Boulevard du palais en tournage.

En tournage jusqu'au 1er août 2012 à Paris et sa région, la série BOULEVARD DU PALAIS. Episodes 42 et 43 tournés pour France 2 et réalisés par Christian Bonnet .

Une production GMT Productions.

Episode 42 « Silence de mort ». Scénario Vincent Lambert et Jean-Luc Estebe.

Episode 43 « Une juste cause ». Scénario Angèle Herry Leclerc et Pierre-Yves Mora.

Avec Jean-François Balmer (Rovère), Anne Richard (Nadia), Philippe Ambrosini (Dimeglio), Olivier Saladin (Pluvinage), Cassandre Vittu de Kerraoul (Lieutenant Tina Varese), Anne-Sophie Germanaz (Emilie Greffiere), Guillaume Cramoisan (Arnaud Barthelemy), Léa Betremieux (Chloé Pelletier).

Episode 42 « Silence de mort »

Rovère enquête sur la mort d’une pute, étranglée dans un hôtel social qui a pris feu… Mais il connaît et a profondément aimé cette femme. Comment annoncer à sa fille la terrible nouvelle, alors qu’elle a trouvé un havre de tranquillité et d’équilibre dans une famille d’accueil… La famille idéale où Chloé croyait se reconstruire prend peu à peu les allures d’un lupanar sordide, dont le fils en fuite aurait été le pourvoyeur. Pourtant, on le retrouve assassiné dans un champ quelque part en banlieue. Et il devient évident que les SMS et les mails qu’il avait semés sur sa piste n’ont pas été envoyés par lui. « On » a voulu faire croire qu’il était en cavale. Mais qui ?...

Episode 43 « Une juste cause »

Laurent Joly a perdu sa femme il y a 3 ans. Leur fils Rémi avait 6 ans. Bouleversé par ce décès, Laurent a protégé son enfant comme il l’a pu, mais l’absence de cette mère reste un lourd traumatisme pour toute la famille. Il y a un an, quand Marianne Grémillon s’est installée dans le quartier, Laurent n’avait jamais eu depuis de relation avec une femme, trop concentré sur son travail et sur son fils. Le contact avec cette voisine, belle, vivante, intelligente, pleine de charme, lui a redonné le goût à la vie et enfin le désir de reconstruire un couple. Marianne de son côté a acheté ce pavillon de banlieue pour avoir plus d’espace, un jardin et surtout une maison à elle dont elle aurait dessiné les nombreuses rénovations. Mais ce rêve a un coût qu’elle n’avait pas forcément bien évalué: même proche, la banlieue n’est pas Paris et l’isolement, pour une parisienne dans l’âme, va bientôt la rattraper. D’autant plus que ce coin à l’allure si tranquille est depuis quelques temps la cible de cambrioleurs bien organisés venant pour la plupart d’un camp de roms situé à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau .

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