Cold cases, la science face au crime : nouveau podcast du service-police justice de franceinfo.

À écouter depuis hier, le podcast « Cold Cases ». Saison 1 : La science face au crime.

Il faut parfois plusieurs dizaines d’années aux enquêteurs pour résoudre une affaire criminelle. Analyses ADN, reconstitutions de scènes de crime, expertises médico-légales... Ce sont de plus en plus souvent les avancées techniques et scientifiques qui permettent de confondre les meurtriers, passés sous les radars. Dans ce podcast original de huit épisodes, le service Police-Justice de franceinfo vous plonge dans les plus grandes affaires criminelles françaises, et explique comment les sciences criminelles sont devenues incontournables pour les élucider.

Épisode 1 - Le meurtre de Christelle Blétry : quand l'ADN conduit aux aveux. Récit de David Di Giacomo. Christelle Blétry, 20 ans, a été violée et tuée le 28 décembre 1996, à Blanzy, en Saône-et-Loire, alors qu’elle rentrait d’une soirée. Dix-huit ans plus tard, la juge va finir par accepter de relancer des recherches ADN sur les vêtements de la victime. L’auteur, Pascal Jardin, sera identifié, et condamné à la perpétuité. En immersion au laboratoire d’hématologie médico-légale de Bordeaux, différents acteurs racontent comment l'ADN a joué un rôle déterminant dans cette affaire.

Épisode 2 : La profileuse qui a fait avouer le tueur en série Jacques Rançon. Récit de Gaële Joly. Jacques Rançon, dit le "tueur de Perpignan", a été condamné à la prison à perpétuité en mars 2018 par la cour d'assises des Pyrénées-Orientales. Il a été déclaré coupable des viols et des meurtres, accompagnés d'atroces mutilations, de Moktaria Chaïb, 19 ans, et de Marie-Hélène Gonzalez, 22 ans. Il avoue en 2019 quelques minutes seulement avant la fin de sa garde à vue, un autre meurtre commit 33 ans plus tôt, celui d’Isabelle Mesnage. 

Épisode 3 - Alexandre Junca et le rôle décisif de la médecine légale. Récit de Pierre de Cossette. Le meurtre d’Alexandre Junca, jeune collégien de 13 ans, avait choqué la ville de Pau en 2011. Tué sauvagement pour un téléphone portable en 2011, son fémur et les restes de son corps démembré avaient été retrouvés dans la rivière qui traverse la ville. Après 18 mois de recherches vaines, en 2012, un mot figurant sur le registre de condoléances de la mairie de Pau met les enquêteurs sur la piste des suspects. L'analyse des ossements et la téléphonie joueront un rôle clé dans la résolution de l'enquête.

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