Frédéric
Beigbeder consacre son billet hebdomadaire dans Voici à Stéphane Guillon. Un humoriste qui ne l'avait jamais déçu, écrit-il. Que ce soit sur scène, en radio ou
télé.
Mais Beigbeder n'apprécie pas la réaction de Guillon envers Jean-Michel Aphatie, après un billet publié sur le blog du journaliste. "Sur son blog, Aphatie a osé dire qu'il trouvait Guillon
méchant. Celui-ci a répondu qu'Aphatie puait de la gueule comme un notaire de province qui va aux putes".
Beigbeder juge que le problème de Guillon est le même qu'Eric Naulleau : il faut accepter de se faire massacrer, mais en plus, il faut bien le prendre, sous peine d'être accusé de manquer de
fair-play.
Il est interdit de critiquer le critiqueur, poursuit Frédéric Beigbeder, faisant un parallèle avec Guy Carlier à une époque où il ne supportait pas qu'on se moque de lui alors qu'il se moquait des
autres...
Stéphane Guillon était drôle jusqu'au jour où il est devenu susceptible, termine Beigbeder.
En librairies depuis mars : "Stéphane Guillon aggrave son cas", format poche Editions Points-Seuil.
J'aime bien Guillon de manière générale, et je pense que DSK méritait son billet. Par contre celui sur Apathie était limite et s'attaquait gratuitement à son physique...
Mouais mouais mouaisBeigbeder, il y a autant de talent dans ses chroniques de voici que dans les recttes de cuisine de ma voisine... pour ses romans je sais pas mais dans voici c'est vraiment nul ce qu'il écrit.Et là, godwin point d'entrée! bravo! Au lieu de faire en retour un portrait au vitriol de Guillon, non, monsieur Beigbeder n'a qu'un seul argument "guillon c'est un méchant pas beau tout facho des fesses".Nul.