Une partie de la Une, puis les deux pages entières suivantes du Parisien sont consacrées ce vendredi 5 février 2010 au tirage de l'Euromillions de ce soir. Super cagnotte de 100 millions d'euros en
jeu.
Le fait du jour, pour le quotidien, qui rappelle que par rapport à un tirage ordinaire, ils sont deux fois plus nombreux à croire qu’ils peuvent faire fortune grâce au hasard.
Les deux pages sont essentiellement consacrées à des paroles de gagnants et aux coulisses d'un tirage. Un article très intéressant, où on apprend beaucoup de choses sur la façon dont il
se déroule, dans un studio de télévision de Boulogne-Billancourt, à 200 m du siège de la Française des jeux. Sur un fond vert, ce qui apparaissant à la télé étant un décor 3D.
Vers 19 heures, des répétitions précèdent toujours chaque tirage avec des boules de...répétition.
Un huissier de justice veille scrupuleusement au bon déroulement des opérations et représente la loterie française. Vinncet Mongaillard écrit que sa profession étant "une spécificité hexagonale
non reconnue par les huit autres pays de l’Euro Millions (Espagne, Grande-Bretagne, Luxembourg, Belgique, Suisse, Portugal, Irlande et Autriche), un second contrôleur est présent sur le plateau.
C’est le DSI, initiales de Draw Sheriff Independant, traduisez « shérif indépendant du tirage »".
C'est à 20h30 que l’huissier de justice et le shérif récupèrent la mallette contenant les boules officielles du tirage dans un coffre-fort lui-même situé dans une pièce sécurisée.
"Pour entrer dans ce bunker, il faut un badge et donner ses empreintes digitales. Le système d’accès est biométrique. Sur le plateau, après vérification de codes, la petite valise métallique
est descellée"...
La suite des opérations, de 21 à 22 heures est à lire dans Le Parisien, pages 2 et 3. Le site : www.leparisien.fr
Au passage, une coïncidence cette publicité sur une pleine page du Parisien aujourd'hui (page 9) ? ...