Le 2 février 2010 s'ouvrira le procès du crash du Concorde d'Air France survenu le 25 juillet 2000 à Gonesse, en région
parisienne. Sébastien Turay, pour SPÉCIAL INVESTIGATION, a retrouvé plusieurs témoins qui contredisent la version officielle ; ils racontent
une autre histoire, plus embarrassante... A voir sur Canal+ ce vendredi 22 janvier 2010 vers 22h30.
Le crash du Concorde, en juillet 2000 avait fait 113 morts. L'enquête officielle des experts français du Bureau Enquête Analyse (BEA) conclut que la catastrophe a été provoquée par une lamelle en
titane, présente sur la piste lors du décollage du Concorde. La lamelle de titane aurait crevé un pneu du Concorde et les éclats de caoutchouc auraient perforé un réservoir, entraînant
l'embrasement de l'appareil. Cette thèse officielle est mise à mal par plusieurs éléments matériels recueillis par les gendarmes lors de leur enquête, et par de nombreux témoignages recueillis au
bord des pistes le jour du drame.
Si l'on en croit l'enquête de gendarmerie, un autre scénario pourrait se dessiner. Le crash ne serait pas dû à la présence d'une simple lamelle en titane sur la piste... mais à une suite de
négligences dans la conception et la maintenance de l'appareil. Les experts officiels ont-ils cherché à exonérer Air France et à protéger leur Concorde, véritable mythe national depuis les années
1970 ? Pour SPÉCIAL INVESTIGATION, Sébastien Turay interroge différents témoins et acteurs de l'époque et produit de nombreux documents inédits sur la catastrophe.
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Bonjour,<br />
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En grand admirateur du Concorde, il m'a sembler important de signaler que la reconstitution présente en haut de page présente une erreur : Ce n'est pas le F-BVFB qui s'est crashé, mais bien<br />
le Concorde F-BTSC.<br />
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