15 Juillet 2015
Dans la soirée du vendredi 14 mars 2003, le patron du groupe Lagardère et actionnaire principal du mastodonte de défense EADS décède dans une chambre de l’hôpital Lariboisière de Paris.
Il a été admis en urgence en réanimation le dimanche 9 mars 2003, après avoir été retrouvé, par son majordome, allongé et inanimé sur le sol de la chambre. Le diagnostic : encéphalomyélite, va susciter des interrogations. C’est une maladie très rare qui se déclenche suite à une infection bactérienne ou virale, et qui a la particularité de faire secréter au corps son propre poison mortel.
La disparition de Jean Luc Lagardère est un événement majeur dans l’histoire politique et économique de ce pays. Douze ans se sont écoulés. Le temps du deuil achevé, que reste-t-il de Jean Luc Lagardère ? A l’heure où son fils Arnaud se désendette en revendant ses parts et sa présidence dans le groupe Eads, où la filière sport peine à trouver son équilibre financier, où seules les participations dans les journaux et l’édition semblent faire gagner argent et notoriété à son héritier, plongée dans l’histoire de JLL.
Comment a-t-il construit son empire ? Au prix de quelles compromissions ? Comment cet empire a-t-il été dilapidé ? Que reste-t-il du golden boy triomphant des années 90 ? Qu’est ce que sa mort a changé ?
Un film documentaire de Gilles Cayatte, diffusé à 23h20 ce mercredi sur France 3.
Crédit photo © Production Nord Ouest.
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