Birkin, Hardy, Sanson, une vie à aimer : archives et confessions inédites ce vendredi sur France 3.

Birkin, Hardy, Sanson, une vie à aimer : archives et confessions inédites ce vendredi sur France 3.

Birkin, Hardy, Sanson, une vie à aimer. Un film réalisé par Mireille Dumas et Anne Sedes, programmé sur France 3 ce vendredi à 21 heures

Jane Birkin la muse, Françoise Hardy l'idéaliste et Véronique Sanson la passionnée chantent depuis près de cinquante ans les méandres et vertiges de l'amour qui recoupent souvent leur vie intime. Amour éternel, passion de toute une vie ou amour de jeunesse sublimé, elles n'ont pas hésité, avec des styles totalement différents, à mettre à nu leurs sentiments pour Serge Gainsbourg, Jacques Dutronc, Michel Berger ou Stephen Stills.

Ce documentaire qui raconte en musique ces parcours de vie conjugue avec élégance et poésie des archives personnelles rares et le témoignage inédit des trois artistes que l'on voit évoluer au rythme des chansons, tout au long des décennies. Au-delà des moments d'anthologie avec de vraies pépites, au-delà des confessions sans fard souvent bouleversantes, l'autodérision magnifique de ces artistes reprend toujours le dessus sur les douleurs et les épreuves de la vie.

Françoise Hardy : « J’ai la nostalgie des années où mon cœur battait très fort et très vite pour Jacques. Mais les choses évoluent. « Rendez vous dans une autre vie » c’est la dernière chanson que j’ai écrite pour Lui. Je vois ma relation avec Jacques comme une espèce de brouillon. Peut-être dans une autre incarnation nous passerons au propre.»

Jane Birkin : « Serge m’a écrit des chansons depuis que j’ai 20 ans. On peut difficilement donner plus à quelqu’un que ce qu’il m’a donné. D’ailleurs il y a une chanson qui dit : «Une chose entre autres que tu ne sais pas, tu as eu plus qu’un autre le meilleur de moi.» Et c’est vrai, plus qu’un autre, j’ai eu le meilleur de lui.»

Véronique Sanson : « Je cours après des amours douloureuses. Parce que rien n’est jamais facile dans l’amour, on n’est jamais sûr de rien et heureusement ! J’envie mes parents pour lesquels tout était simple. Perdre maman c’était me perdre moi, mais «je l’appelle encore». Je chante cette chanson avec de vraies larmes… »

Crédit illustration © Delphine Ghosarossian - Bernard Barbereau - France 3.

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