Le thème de la santé mentale au cœur de l’émission « Ça commence aujourd’hui », toute cette semaine.

Dès ce lundi 27 mars, le thème de la santé mentale est au cœur de l’émission « Ça commence aujourd’hui ». Un magazine présenté par Faustine Bollaert du lundi au vendredi dès 14 heures sur France 2.

Lundi 27 mars : « stress post-traumatique de retour de guerre »

Le trouble du stress post-traumatique est caractérisé par des réactions intenses, désagréables et dysfonctionnelles qui apparaissent après un événement traumatisant accablant.

Éric, 53 ans, ex-militaire dans l’Armée de Terre, revient sur son histoire et son combat contre le stress post-traumatique en passant par son addiction à l’alcool et sa vie de famille.

Aurélien, 34 ans, évoque son stress post-traumatique et son syndrome de la « blessure de la honte » après sa mission de 4 mois au Mali pour l’opération Barkhane. Il se confiera sur sa vie privée et sa thérapie par l’écriture.

Élody, 33 ans, nous raconte son histoire et celle de son conjoint, Quentin, militaire. Elle revient sur le calvaire de son mari victime de stress post-traumatique après de multiples missions à l’étranger. Il mettra fin à ses jours sur son lieu de travail en novembre 2022.

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Mardi 28 mars : « le suicide chez les plus jeunes »

Avec la crise sanitaire, les confinements et le harcèlement qui ne s’arrête plus aux grilles de l’école, la santé mentale des jeunes se détériore et les tentatives de suicides deviennent de plus en plus fréquentes. Aujourd’hui, 75% des moins de 15 ans déclarent avoir déjà ressenti un trouble ou une souffrance physique, c’est pourquoi il important de libérer la parole autour de ce sujet souvent tabou et de sensibiliser les plus jeunes.

Lola, 19 ans, accompagnée de sa mère Benedicte, nous raconte comment le harcèlement dont elle a été victime à l’école l’a affecté psychologiquement et poussé à la tentative de suicide. Lola évoquera son combat du quotidien contre ses idées noires et la naissance de son neveu qui lui a sauvé la vie.

Cyrielle, 30 ans, accompagnée de son père Marc, revient sur le harcèlement dont elle a été victime durant sa scolarité, comment cela a impacté sa vie et sa santé mentale à l’époque et continue de l’impacter toujours aujourd’hui.

Anne-Sophie, 46 ans, maman de Rafael qui a mis fin à ses jours en 2020 à seulement 18 ans. Mal dans sa peau, le garçon réservé et timide souffrait de dyslexie et d’hypersensibilité, à l’adolescence, Rafael tombe dans la drogue, ce qui viendra contribuer à son mal-être. En 2020, le confinement aggrave son état dépressif et il se donnera la mort quelques temps plus tard.

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Mercredi 29 mars : « burn out à 30 ans »

Le burn out est un trouble psychique résultant d’un stress chronique dans le cadre du travail. Il se développe progressivement chez certaines personnes exposées à des conditions de travail frustrantes et démotivantes : face à la fatigue, au sentiment d’échec et aux difficultés de concentration, celles-ci tendent à travailler toujours davantage pour essayer de retrouver satisfaction et confiance en elles. Si les conditions de travail restent difficiles, un cercle vicieux s’installe jusqu’à l’épuisement physique et psychique.

Romain, 39 ans, nous raconte comment à 30 ans, après 10 ans à la tête de sa société, il décide de tout quitter à la suite d’un burn out et de partir à l’autre de bout de la planète pour se retrouver.

Ariane, 40 ans, a travaillé pendant 10 ans dans le monde de la mode, tout lui réussissait, mais un jour, elle réalise qu’elle n’est pas heureuse et tombe en dépression pendant 6 mois. Après cette longue période de burn out, Ariane redécouvre sa passion pour l’histoire et devient journaliste historique.

Mélanie, 28 ans, a travaillé comme aide-soignante pendant 8 ans avant de faire un burn out et de changer complètement de voie en devenant chauffeur poids lourd.

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Jeudi 30 mars : « Phobie d’impulsion »

Faire du mal à quelqu’un ou à soi-même : c’est avec cette pensée intrusive que vivent les personnes souffrant de ce trouble obsessionnel compulsif, elle se traduit par l’angoisse de perdre le contrôle et de commettre un coup de folie ou un acte agressif. La vie avec ce trouble plonge les personnes dans une profonde solitude de peur d’être jugées par leur entourage.

Lise, 24 ans, est victime de phobies d’impulsion depuis qu’elle est toute petite. C’est seulement en juillet 2020 que Lise est diagnostiquée et commence le chemin vers la guérison.

Léna, 26 ans, ses phobies d’impulsion ont commencé à l’âge de 18 ans à la suite d’une déception amoureuse. Elle revient sur sa vie avant d’être diagnostiquée et sur la gestion de son trouble dans sa vie quotidienne.

Maider, 35 ans, a commencé à ressentir les phobies d’impulsion pendant sa grossesse, elles se sont ensuite accentuées après son accouchement. Ses phobies étaient uniquement dirigées vers sa fille. Elle revient sur la thérapie qui lui a changé la vie et qui lui a permis de comprendre qu’elle souffrait d’un syndrome anxieux généralisé. 

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