9 Avril 2023
Très rare dans les médias ces dernières années, l’ex-chanteuse Françoise Hardy est interrogée ce week-end dans l’hebdomadaire Le journal du dimanche. Et certains de ses propos suscitent de vives réactions sur les réseaux sociaux.
Il lui est notamment demandé sa réaction au sujet de la lettre de 300 personnes issues du monde de la culture demandant le retrait de la réforme des retraites. Elle n’aurait sûrement pas signé cette lettre, confie-t-elle, car elle a "compris qu’il y a plusieurs raisons impératives d’effectuer une réforme des retraites." L’artiste met en avant le fait que les autres pays européens ont mis l’âge de la retraite à 65, 66 ou 67 ans (mais elle ne parle pas des années de cotisation nécessaires) et rappelle que la France a une dette publique de 3.000 milliards d’euros avec un taux d’intérêt qui risque d’augmenter.
Françoise Hardy dit avoir honte de ce qui se passe "dans une France qui se laisse manipuler et désinformer par des extrémistes de gauche ou de droite : la LFI, la NUPES, Marine Le Pen, etc. De plus, les grèves répétées aggravent un peu la situation économique avec les problèmes de transport qu’elles provoquent et qui empêchent beaucoup de gens de se rendre normalement à leur lieu de travail et même certains d’entre eux de travailler, mais aussi la transformation de Paris et du pays en repoussoirs économiques, sans parler de toutes les violences et des nombreuses dégradations matérielles inadmisssibles dont les réparations coûtent cher."
Plus loin dans l’interview, Françoise Hardy précise qu’elle n’a jamais cherché à plaire et elle exprime ce qu’elle pense, tout en sachant qu’elle peut se tromper.
Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
Voir le profil de leblogtvnews.com sur le portail Overblog