Le programme court Le lexique des dyslexiques, dès le 5 octobre avec Stéphane de Groodt.

Conçu pour le jeune public, mêlant prises de vues réelles et animation, Le lexique des dyslexiques, programme porté par Stéphane De Groodt et douze enfants a pour thème central les Dys. Encore mal compris et souvent mal diagnostiqué, le sujet y est abordé avec sensibilité et humour.

12 épisodes de 5' proposés dès le 5 octobre sur Canal+ Kids, tous les soirs à 19h00, les mercredis à 16h00, les samedis et dimanches à 9h30, et disponible sur myCANAL.

Chaque épisode nous raconte, à hauteur d’enfant, la réalité quotidienne d’une petite fille ou d’un petit garçon face aux premiers signes de troubles Dys*, du point de vue de leur ressenti intérieur.

Celui-ci est rythmé en trois temps : le temps du blocage lié à une situation du quotidien, le temps de l’apparition d'un personnage magique (le Djinn, gentil génie interprété par Stéphane De Groodt), puis celui de l’imaginaire. L'enfant, aidé par le Djinn, y exprime librement ses pensées, dépassant ses craintes. Grâce à la réaction bienveillante de cet adulte imaginaire, l’enfant recherche la clé pour sortir de ce vertige, pour regarder la situation d’une autre façon et trouver, face à ce qu’il percevait auparavant comme un dilemme insoluble, une issue créative.

À travers Le lexique des dyslexiques, et son prisme à la fois poétique et éclairant, il s'agit d'aider les enfants à ne pas perdre confiance en eux lorsqu'ils se sentent différents des autres enfants de leur âge, mais aussi à les encourager à puiser dans leurs ressources intérieures pour transformer leur singularité en richesse et leur offrir un reflet positif d’eux-mêmes, annonce Canal+.

*Les troubles Dys sont des dysfonctionnements, plus ou moins sévères, des fonctions cognitives relatives à l’apprentissage du langage (dyslexies, dysorthographies, dysphasies), des mathématiques (dyscalculies) ou des gestes automatisés (dyspraxies, dysgraphies).

Sur une idée originale de Cendrine Dominguez. Écrit par Lauren Malka. Réalisé par David Périssere.