Les As des bonnes affaires débarquent ce mercredi 2 octobre.

Avec l’inflation, les Français sont devenus accros aux bonnes affaires : ventes aux enchères, discounters, seconde main ou encore destockeurs. Pour faire des économies mais aussi par conscience écologique, les consommateurs chassent en permanence les meilleurs bons plans.

Derrière ces prix alléchants se cachent des femmes et des hommes professionnels du destockage, de la seconde main ou des enchères. Leur défi : dénicher des produits du quotidien aux meilleurs prix ! Alimentation, électroménager, vêtements, décoration, ameublement, jouets ou voitures, comment ces pros des bonnes affaires parviennent-ils à négocier les prix les plus bas ? Ce sont tous ces secrets et bien d’autres qui vous seront révélés dans les As des bonnes affaires, annonce le groupe M6.

Cette série documentaire au format 6 x 52' sera proposée dès ce mercredi 2 octobre à 21h10. Deux numéros à la suite.

Parmi les personnes suivies :

• Domitille se bat contre l’inflation. Avec son mari Cyril, il y a 5 ans, ils ont décidé de tout miser sur la nouvelle poule aux œufs d’or alimentaire : le destockage. Pour proposer aux clients des prix toujours plus bas, les rayons de ce magasin sont remplis de produits proches de leur date limite de consommation, voire déjà périmés. En France le gaspillage alimentaire représente près de 10 millions de tonnes par an. Des produits qui sont donc dans le viseur des destockeurs. Pour Domitille, c’est une course contre la montre permanente pour acheter et vendre des produits à durée de vie très courte.
• Valérie Bouvier dirige l’Hôtel des ventes aux enchères de Coulommiers depuis 1999. Ici, chacun peut trouver son bonheur. Après 24 ans dans le métier, Valérie a vu défiler de nouveaux collectionneurs et de nouveaux marchés. Mais également, une autre manière de vendre, grâce à internet qui permet de toucher un public diversifié. L’une des particularités de Valérie, ce sont des ventes qu’elle surnomme “Caverne d’Ali Baba” qui attirent toujours plus de monde. Des objets en tout genre, avec de petites mises à prix, de 5 à 50 euros. Le public en raffole.
• En Vendée, Justine et Alexandre sont à la tête d’un magasin de déstockage spécialisé dans les meubles et la décoration de qualité à prix cassés. Tous leurs produits proviennent d’enseignes de E-commerce telles que La redoute, Made.com ou Net.com : ce sont des fins de série, des litiges, des retours de colis, ou encore des produits avec défauts. Et pour toujours proposer des produits de qualité à ses clients, Alexandre n’hésite pas à réparer les objets arrivés abîmés. A la clé des économies pour les clients qui peuvent atteindre 70% du prix initial.
• Dans sa boutique de vêtements d’occasion, Yasmina se démène pour habiller toute la famille à petits prix. Elle veut reconquérir la clientèle qui a déserté les magasins pour les plateformes de revente sur Internet. Yasmina fait partie d’un réseau d’une dizaine de boutiques approvisionnées par un centre de tri à Bordeaux. Elle reçoit jusqu’à 2 tonnes de marchandises par mois. A la clé pour les clients : des économies pouvant aller jusqu’à 80%. Pour se démarquer de la concurrence, il faut sans cesse créer l’évènement : nouveaux rayons, défilés,… Et ça fonctionne car depuis son inauguration il y a 6 mois, la boutique de 600 m2 ne désemplit pas.

Production Cover Films.