8 Janvier 2008
Dans un appartement bourgeois de la fin du XIXe siècle, dans la pénombre, se retrouvent le docteur Mongicourt, ami du docteur Petypon et Etienne, le valet de pied. Il
règne un désordre certain et pour cause, Lucien Petypon est rentré à pas d’heure en compagnie de la célèbre danseuse du Moulin Rouge, la môme Crevette. Mais voilà que Madame Petypon arrive à son
tour…
Selon Francis Perrin, "C’est une pièce complexe avec des situations qui dégénèrent et s’enchaînent à toute allure. Un mécanisme inéluctable se met en marche dès le
premier acte. Je joue Petypon qui se réveille d’une nuit de beuverie avec une danseuse du Moulin Rouge (Sophie Forte) dans son lit. Comment expliquer la situation à sa femme la pieuse Gabrielle
(Dominique de Lacoste) ou à son oncle le général Petypon (Henri Guybet) ? Notre bourgeois ne peut que s’emmêler les pinceaux. Son écart d’un soir provoque d’imprévisibles dommages collatéraux. Il
fait passer la Môme Crevette pour sa femme et son épouse Gabrielle pour une démente. Incapable d’assumer tous les dégâts, le pauvre Petypon préfère adhérer à cette logique folle jusqu’au bout.
Plus la farce est énorme et plus le personnage y croit, il y a une surenchère vertigineusement drôle dans La Dame de chez Maxim."
"Je me félicite du choix des comédiens, ils ont apporté une dimension inédite aux personnages. Sophie Forte ou Jean-François Derec (Mongicourt) sont des comédiens avec de fortes personnalités
qu’ils ont su mettre au service de leurs rôles. D’autres surprennent dans un répertoire inattendu comme Dominique de Lacoste, ex-Vamp, qui joue l’épouse bigote. C’est fabuleux de diriger des
comédiens qui, sans rien perdre de leur personnalité, respectent le rythme et les situations. Comme dans un mouvement d’horlogerie, chacun œuvre pour la réussite de la pièce."
Photo Derec, Perrin, Sophie Forte, copyright France 2 / Jacques Morell.
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