23 Mai 2008
Début ce vendredi 23 mai de la
saison 2 de la série policière française Sur le fil.
Sur France 2, à raison de deux épisodes chaque semaine.
Avec : François Levantal (Philippe Munoz), Benjamin Boyer (Julien Forge), Xavier Gallais (Laurent Dupré), Nozha Khouadra (Lila Gloanec), Jacques Bondoux (Fossati), Vladislav Galard (Antoine),
Micky Sebastian (Lucie Terrier), Gérard Maillet (Stéphane Leroux) et Tatiana Gousseff (Cécile Beaumont).
Le début : Le service de police a déménagé. L'administration n'ayant pas payé le loyer, ils ont été expulsés ! Ils sont toujours au cœur de Paris mais
dans une friche SNCF particulièrement vétuste et inadaptée à leur travail... Alors qu'ils sont en pleine installation, le groupe vient de mettre en garde à vue un escroc un peu minable, Lafaille,
qui arnaque ses pigeons avec de faux dollars. Vite libéré, Lafaille sort du service sans demander son reste, mais à peine a t-il tourné le coin de la rue, qu'un homme qu'on ne voit pas l'abat
froidement d'une balle dans la tête. Un banal règlement de comptes ? Peut-être, sauf qu'on apprend que Lafaille était un " tonton " de Munoz et que, depuis peu, il faisait chanter des clients du
Bois de Boulogne grâce à des renseignements donnés par un policier...
Munoz est vite soupçonné d'être un ripou et, pourquoi pas, d'avoir tué Lafaille pour le faire taire. Pour Munoz, une double enquête démarre. Premièrement trouver l'assassin de Lafaille et
deuxièmement découvrir qui est le flic ripou qui lui fait endosser son crime.
Scénaristes : Martin Garonne et Catherine Touzet *. "Nous avons construit cette suite comme une montée en puissance, les personnages font face à leurs propres démons,
malheureusement bien réels.’’ (...)"On connaît mieux nos personnages et forcément l’envie vient de rentrer davantage dans leur psychologie pour trouver des choses
contradictoires."
‘‘L’équipe va aller très loin mais l’honneur reste sauf. On voulait surtout montrer le manque de moyens flagrant dont ils souffrent pour mener à bien leurs enquêtes. Ce qui les oblige à
utiliser des voies détournées. Néanmoins, leurs méthodes n’ont rien d’extravagant, nous sommes parfois en dessous de la réalité.’’ Le parti pris des scénaristes est d’utiliser le réel comme
le cadre stimulant de leur création. En collaboration avec la police, ils s’efforcent de suivre scrupuleusement les procédures de l’administration judiciaire française. ‘‘L’intérêt de cette
méthode est de s’infiltrer dans les dysfonctionnements afin de montrer toute l’ingéniosité de certaines pratiques, très peu connues du grand public’’.
(* interrogés par Violène Mendoça )
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