L'hebdomadaire Voici ironise sur le "réquisitoire musclé" reçu de l'avocat de la chanteuse Jenifer. Un courrier accusant la revue de faire de la médiatisation racoleuse.
Jusqu'à 40.000 euros seraient réclamés selon le magazine. Pour un article paru fin juin, évoquant le spleen qui envahissait l'artiste depuis sa séparation avec le père de son fils.
Mais Voici souligne que la semaine suivante, Jenifer accordait un entretien à Paris Match où l'on pouvait notamment lire "j'ai le droit de faire des erreurs et de regretter ensuite", "en ce
moment, je suis vulnérable. De temps en temps, je m'autodétruis..", "il y a des jours où je vais être forte, où je vais dépasser le stade de la dépression. Puis il y a des jours où rien ne va
plus"...
Dans cette "affaire", le seul tort de Voici est d'avoir été en avance d'une semaine sur le plan média orchestré par l'entourage de Jenifer, souligne l'hebdo people.