Ce jour là, tout a changé : l'évasion de Louis XVI (France 2)














Sur France 2, 4,6 millions de téléspectateurs (une part d’audience de 17,2 % selon Médiamétrie) ont regardé il y a plus d'un mois à 20h35, le 1er documentaire inédit de la nouvelle collection « Ce jour-là, tout a changé » dont Jacques Malaterre est le directeur artistique.




Diffusion ce mardi 24 février à 20h35 du deuxième volet : L'évasion de Louis XVI. Réalisé par Arnaud Sélignac. Scénario et dialogues de Emmanuel Bézier.




Jean-Christian Petitfils, qui a consacré sept ans à l’élaboration de la biographie du Roi, a été conseiller historique de ce documentaire-fiction. Il a accepté pour les raisons suivantes : "Le scénario qui m'avait été présenté aborde deux thèmes essentiels et pourtant peu connus ou en tout cas que les historiens en général n'ont pas pris en compte. Louis XVI est prêt à s’entendre avec les révolutionnaires, il accepte le principe d’une monarchie limitée. Néanmoins, il souhaite conserver une autorité dans certains domaines politiques. Mais cette volonté est rejetée par une grande majorité de députés de l’assemblée. Le deuxième élément, plus intime, porte sur la vie privée du roi et notamment sa relation avec la reine, Marie-Antoinette. Le couple royal, qui a connu des périodes difficiles dû au jeune âge du couple, évolue vers une entente véritable."










Avec : Antoine Gouy (Louis XVI), Estelle Skornik (Marie-Antoinette), Eric Deshors (Duc d'Orléans), Patrick Juiff (La Fayette), Pierre-Arnaud Juin (Sauce), Loïc Houdre (Drouet), Franck Victor (Camille Desmoulins), Franck de la Personne (Danton), Renaud Garnier-Fourniquet (Robespierre), Xavier Aubert (Léonard), Vincent Guillaud (Romeuf), Francis Coffinet (Bailly), Benoît Marchand (Duc de Choiseul), David Martins (Bayon), Morgane Rouault (Le Dauphin) et Catherine Aymerie (Mme de Tourzel).




Paris, 21 juin 1791, 00h30. Pour sauver ses enfants et sa femme, Marie-Antoinette, de la vindicte populaire, le roi Louis XVI, déguisé en bon bourgeois, s'enfuit incognito du Palais des Tuileries où il est prisonnier. Mais rien ne va se passer comme prévu...





Crédit Photos Jacques Morell / France 2.




SOURCE FRANCE 2.



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P
A ceux et celles qui s'intéressent  à la Révolution française et qui refusent l'endoctrinement idéologique du "politiquement correct" et de "l'historiquement correct", je vous propose la lecture très enrichissante de deux ouvrages: Les deux patries de Jean de Viguerie paru en 2004 et La guerre de la Vendée et le système de dépopulation (Gracchus babeuf) présenté et annoté par Reynald Secher et Jean-Joël Brégeon paru en 2008.
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P
Toute révolution est par essence une rupture. Rares ont été celles qui ont été épargnées par les effusions de sang. Le prix à payer doit-il toujours être le même pour que l'humanité gravisse une marche supplémentaire vers un hypothétique bonheur, propre à toute idéologie ? "Si le peuple ne veut pas être libre, nous le rendrons libre contre lui-même" disait Saint Just. "Le peuple", un mot cher à la dialectique révolutionnaire, commun à la fois à la Révolution française et bolchevique. Qui est ce "peuple" ? Qui l'incarne ? "Les ennemis du peuple" soudain se dressent, sounois, contre le nouvel ordre en marche. "Il vaut mieux arrêter une centaine d'innocents plutôt que de laisser en liberté un seul ennemi du régime." disait Lénine. Qui est cet "ennemi" du "régime" ? Les prêtres réfractaires et les paysans vendéens, les prêtres orthodoxes et les paysans ukrainiens ou autres rebaptisés "pour la bonne cause", koulaks ! Il faut forcément "un ennemi" car c'est lui qui justifie la sauvegarde de la révolution.Pour la jeune Convention, toute empreinte du patriotisme jacobin, les crimes de masse en sont à leur début, et, peut-être que l'on peut considérer Turreau et Carrier comme des enfants de choeur à les comparer à "l'industrialisation" du crime mis en place par les régime totalitaire du XX ème siècle. Si le nazisme et le fascisme sont morts et enterrés sous les ruines de l'Europe en 1945, à quand le "Nuremberg" du communisme ?
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C
A Philippe Meunier. Quelle vision téléologique de l'histoire! Tant qu'à faire, comment ignorer qu'Hitler s'est inspiré de Napoléon? Tout cela ne mène strictement à rien. On ne peut pas comparer la Révolution française et bolchevique sans faire de l'anachronisme. JC. Martin affirme bien que les Juifs étaient persécutés bien avant la Révolution, que dire de l'Inquisition et du tribunal du Saint-Office? Fascistes eux aussi les Rois Catholiques. Allé va! Non cela nous en apprend dix fois plus sur la période actuelle que nous traversons: tout ce qui est révolutionnaire ce n'est que mal, que destruction. Et finalement comme ce serait bien mieux de vivre dans une monarchie constitutionnelle! C'est de l'histoire ça? Allez arrêtez avec ces plaisanteries!
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C
Ah la la!! Alors bénédiction. Hitler s'est aussi inspiré de Napoléon, il trouvait Paris si beau qu'il voulait la surpasser en réaménageant Berlin, Le Pen s'est aussi parfois inspiré d'idées gaulliennes, tout comme la gauche d'ailleurs. Dire que la révolution bolchevique a pu s'inspirer de la Révolution française soit. Mais qu'elle aurait "conduit à" de façon presque inéluctable, franchement là, en histoire cela porte un nom, cela frise avec le téléologique. Quel homme, quel parti, quel mouvement, quelle idéologie n'a pas pour matériau des pensées développées antérieurement? L'homme n'est pas né dans les choux. Il ne faut pas être naïf. Arrêtons-nous là. Tout cela nous en apprend dix fois plus sur le présent que sur la période révolutionnaire. Si l'on prend tant de plaisir actuellement à réhabiliter Louis XVI, cela en dit long, en somme, sur la crise du modèle républicain qui traverse la société française d'aujourd'hui, hélas.  
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P
En réponse à Clément, je constate que les attaques portées à l'encontre de Jean-Christian Petitfils se retournent désormais contre moi. Je n'ai aucune intention de croiser le fer sur internet mais il est des choses que les "ignorants" connaissent et, apparemment pas certains historiens. Pourtant, qui peut ignorer que Lénine s'est fortement inspiré de la Révolution française et de Robespierre pour lancer sa propre révolution bolchevique en Russie. Il n'a pas tout inventé. Il a eu des maîtres et ceux-ci n'étaient pas tous Allemands !
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C
Pour répondre à Philippe Meunier. Mea culpa, je me suis emballé, j'aurais dû réviser. Effectivement, la fuite du roi serait liée comme Petitfils le dit aux "évènements" du 18 avril 1791: le roi entend communier avec un prêtre réfractaire à Saint-Cloud, la foule l'empêche de quitter les Tuileries. Mais la suite des évènements montre que ce fut pour la monarchie une bien triste maladresse... Par contre rien ne pourra justifier cette autre affirmation: "Louis XVI était un roi intelligent qui a dû affronter des forces subversives qui ont donné naissance aux totalitarismes du XXe siècle". C'est une thèse reprise dans le livre noir de la Révolution française aussi absurde que de dire que Sarkozy ayant fait allusion au cours de sa campagne à Jaurès, Jaurès a donné naissance au sarkozysme.   
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P
A Clément. Après avoir relu avec attention le chapitre 23 sur le voyage de Montmédy, tiré de l'ouvrage de Jean-Christian Petitfils, je n'ai lu nulle part cette affirmation que Louis XVI voulait se rendre à Montmédy pour rédiger une constitution. En s'appuyant  sur les lettres du roi, de la reine, de Mirabeau, de Fersen, de Mercy-Argenteau et également de quelques députés de l'Assemblée, l'auteur écrit simplement que les événements du 18 avril 1791 avait convaincu le roi d'agir. Le roi ne fuyait pas Paris pour Montmédy afin d'y rédiger une constitution car il considérait que ce n'était pas à lui de le faire. "S'il accepte une représentation des sujets, il reste fidèle au dogme de l'Etat royal, selon lequel la volonté de la Nation ne pouvait différer de la sienne." Si le roi fuit, c'est pour se mettre à l'abri, lui et les siens, au milieu de troupes sûres, afin de discuter voire d'approuver une nouvelle Constitution, mais en position de force et non comme un prisonnier. Depuis les événements de Saint-Cloud, il apparaissait clairement que la famille royale était prisonnière de l'Assemblée. Cette situation permettaient aux princes émigrés de désobéir au roi et de se faire écouter de l'Autriche et de la Prusse. "Bref, le roi n'avait plus rien à perdre". Cordialement.
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C
Je suis d'accord avec toi Philippe. Mon expression "en dehors de tout clivage partisan" est malheureuse. Chaque historien a sa propre approche de l'histoire. L'histoire n'est pas une science pure, en ce sens que l'outil sur lequel on travaille (les documents d'archives par exemple) ne sont pas le fruit de la nature mais une production humaine, par conséquent subjective. Ainsi dans l'épistémologie même de la science historique, le débat reste a jamais ouvert sur un évènement, une période. Cependant, il serait trop simple au spécialiste d'avancer un argumentaire sans "preuves" autrement dit sans références. J'attends que Jean-Chritian Petitfils m'apporte ses sources pour affirmer ce point précis: "Louis XVI a fuit à Montmédy afin d'y rédiger une Constitution". Je l'avoue: je n'ai pas lu ni consulté la biographie qu'il a rédigé sur Louis XVI. Cependant j'ai chez moi le livre noir de la Révolution française: ce n'est pas un travail d'historien du point de vue de la méthode: absence de sources, de bilbiographie, le tout étant échaffaudé sur des oeuvres pour la plupart littéraires produites par une grande majorité d'écrivains, de philosophes, pamphlétaires dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne tenaient pas la révolution en estime. Peut être que le mot, malheureux de "partisan", résidait dans la référence implicite à cet ouvrage. Quant à la taille du roi, inutile de te dire l'enjeu que cela représente pour moi.Bien à toi.
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C
Je suis d'accord avec toi Philippe. Mon expression "en dehors de tout clivage partisan" est malheureuse. Chaque historien a sa propre approche de l'histoire. L'histoire n'est pas une science pure, en ce sens que l'outil sur lequel on travaille (les documents d'archives par exemple) ne sont pas le fruit de la nature mais une production humaine, par conséquent subjective. Ainsi dans l'épistémologie même de la science historique, le débat reste a jamais ouvert sur un évènement, une période. Cependant, il serait trop simple au spécialiste d'avancer un argumentaire sans "preuves" autrement dit sans références. J'attends que Jean-Chritian Petitfils m'apporte ses sources pour affirmer ce point précis: "Louis XVI a fuit à Montmédy afin d'y rédiger une Constitution". Je l'avoue: je n'ai pas lu ni consulté la biographie qu'il a rédigé sur Louis XVI. Cependant j'ai chez moi le livre noir de la Révolution française: ce n'est pas un travail d'historien du point de vue de la méthode: absence de sources, de bilbiographie, le tout étant échaffaudé sur des oeuvres pour la plupart littéraires produites par une grande majorité d'écrivains, de philosophes, pamphlétaires dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne tenaient pas la révolution en estime. Peut être que le mot, malheureux de "partisan", résidait dans la référence implicite à cet ouvrage. Quant à la taille du roi, inutile de te dire l'enjeu que cela représente pour moi.Bien à toi.
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P
En réponse à un certain Clément et apparemment historien, il est vrai que l'histoire doit se situer "en dehors de tout clivage partisan", pourtant, la Révolution française vue du côté d'un Michel Vovelle et vue du côté d'un Jean-Christian Petitfils, tous deux historiens, semble bien opposée.
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C
Croyez ce qu'il vous importe. Un point seulement: ne demandez plus aux historiens de faire de la commémoration des révolutionnaires ou de la contre-révolution, de la colonisation ou de la décolonisation, de la shoah, du génocide arménien, de la traite, etc. Laissez-nous juste faire notre travail, en dehors de tout clivage partisan. C'est ça le métier d'historien. P.S pour tous les ignorants: je  conseille d'aller se renseigner sur la véritable définition de "l'histoire officielle", la plupart des internautes en faisant un très mauvais usage pour ne pas dire un contresens.
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P
Bravo à France 2 d'avoir diffusé mardi 24 février ce remarquable documentaire-fiction sur la fuite de Varennes. La réalisation n'est pas, certes, sans reproche, notamment en ce qui concerne certaines scènes impudiques et improbables entre Louis XVI et Marie-Antoinette. D'autant que ces scènes ne sont pas utiles au sujet traité et bloquent la pertinence du thème pour une diffusion scolaire. Par ailleurs, le choix des acteurs est assez bon. Le roi n'est peut-être pas assez en chair mais il lui manque aussi des centimètres. Un La Fayette plus grand que Louis XVI (1,92 m), c'est un comble ! Enfin, compte-tenu du temps limité, il aurait été plus judicieux, à mon goût, de nous épargner les scènes suggestives déjà citées et les remplacées, même rapidement, par un retour du roi à Paris. Cependant, il convient de remarquer que tout l'intérêt de ce documentaire réside dans le fait que Louis XVI n'est pas ce roi faible et traître que l'on nous raconte dans les manuels d'histoire mais au contraire un roi intelligent qui a dû affronter des forces extrêmement subversives qui ont donné naissance aux totalitarismes du XX ème siècle. Le choix de Jean-Christian Petitfils comme conseiller historique est judicieux, n'en déplaise à certains. En France, Louis XVI est toujours un sujet tabou. Aujourd'hui comme hier, il est "politiquement correct" d'enfoncer le roi et donc la monarchie, afin du justifier la République ! Les idéologies de tous bords ont encore de beaux jours devant elles. Heureusement, parfois et comme une bouffée d'air pur, un vent de vérité vient réveiller nos sens !
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F
Comme de nombreux Français, j'ai regardé hier soir le "docu-fiction" consacré à la fuite de louis XVI ("Ce jour-là, tout a changé : 21 juin 1791, l’évasion de Louis XVI" réalisé par Arnaud Sélignac, sur France2). Je m'attendais à un téléfilm aussi navesque que le premier volet de la série, relatant la mort d'Henri IV. Mes espoirs n'ont pas été déçus: cette seconde partie est franchement nulle.N'ayant pas envie d'ajouter de la publicité à cette farce -ce travail ayant été pleinement réalisé par Patrice Gélinet, hier en début d'après midi, sur France Inter- mon propos se contentera de commenter quelques aspects de cette "oeuvre" parmi les plus contestables.D'abord, le casting semble avoir été réalisé par une bande d'aveugles: le Louis XVI présenté hier soir ne ressemble en rien à l'original: celui-ci était assez jouflu, avec un large front, un regard doux, un visage avenant. La copie relève de l'usurpation: un jeune dynamique au tempérament parfois colérique, et possédant cinquante kilogrammes de moins que le Bourbon qu'il est sensé incarner: pas de ventre proéminent, pas de double menton...De plus, l'anecdotique et le croustillant occupent une place importante: ainsi cette chasse qui se termine par un pétage de plomb du roi; ainsi cette ébauche de scène coquine, où Marie-Antoinette baisse sa robe et se laisse tripoter par le roi, dont les doigts sont maculés de sang. Ridicule, et improbable.Par ailleurs, les auteurs de ce téléfilm n'hésitent pas à déformer, voire à écorcher l'Histoire:- pour la journée du 5 octobre 1789, l'accent est mis sur la présence d'hommes travestis, et sur la manipulation des parisiennes. Rien n'est dit à propos de la fête organisée à Versailles cinq jours auparavant, durant laquelle des cocardes tricolores auraient été détruites, provocant la colère des Parisiens;- l'accent est mis à plusieurs reprises sur le fait que Louis XVI n'aurait pas voulu quitter le royaume, mais se réfugier à Montmédy afin de rédiger une nouvelle constitution... cette idée est simplement fausse, le roi ayant fui pour se mettre sous la protection de l'empereur d'Autriche;- le téléfilm laisse entendre que Louis XVI refuse que les gardes tirent sur la foule, donnant ainsi l'image d'un roi soucieux du bonheur de ses sujets. La réalité est que l'Etat, y compris sous ce roi, est extrêment violent à l'égard du peuple. Ce fait explique certainement l'attitude barbare des révolutionnaires, dès le 14 juillet 1789: décapitations notamment de Launay, puis quelques jours après de Foulon et de Berthier, puis massacres dans les prisons...- il fait l'impasse sur le retour du roi à Paris, sur le mensonge organisé par l'Assemblée, selon laquelle il aurait été enlevé.Enfin, le téléfilm se termine d'une manière curieuse: d'abord l'on passe directement de l'arrestation du roi à son exécution! Rien n'est dit à propos de la journée du 10 août 1792 et des causes de l'insurrection ayant abouti à l'incarcération du roi, qui relèvent pourtant de la haute trahison (le refus de lever des soldats pour défendre la Patrie). L'exécution elle-même est très mal rendue: l'on a l'impression qu'elle se déroule sur une petite place, au pied d'un palais, au milieu des arbres, alors qu'elle s'est produite sur l'actuelle place de la Concorde. Le film laisse à Louis XVI le temps d'exprimer ses sentiments, alors que les témoignages affirment le contraire, les roulements de tambour étant déclenchés pour empêcher le roi de parler. Ensuite sont passés en revue les destinées des hommes célèbres de la révolution: Camille Desmoulins et sa femme, Danton, Robespierre... pourquoi un tel passage? Où est l'intérêt historique de mettre l'accent sur la mort violente de ces révolutionnaires dans une étude consacrée à la fuite du roi?La critique serait bien moins virulente si ce téléfilm n'avait pas de prétentions scientifiques (d'autres longs métrages abordent le même sujet, sans vouloir pour autant reconstituer scientifiquement cet épisode révolutionnaire: notamment "La nuit de Varennes" d'Ettore Scola: ce joli film est une fiction qui met dans la même voiture Restif de la Bretonne et Casanova!). Ce "docu-fiction" reflète à merveille la situation actuelles des sciences humaines, méprisées par la caste politico-médiatique dirigeante, qui considère que n'importe qui peut écrire l'Histoire, sans respecter aucune règle de méthode ni de déontologie, et en méprisant la recherche.
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T
J'ai regardé ce film hier soir. Je me  suis dit: "ils doivent s'être inspirés du Livre Noir de la Révolution française". Je suis allé feuilleter l'ouvrage que je possède chez moi et il se trouve que Jean-Christian Petitfils y a écrit un article sur la mort du roi Louis XVI. Tout cela pour dire que le choix du conseiller historique par la chaîne n'est pas neutre. Je ne mets certainement pas en cause les qualités du spécialiste, Petitfils est un historien de talent. Mais dans le monde des historiens comme ailleurs, les débats sont vifs. Cette thèse de Varenne est loin de faire l'unimité du cercle scientifique (Mona Ozou, Jean-Paul Bertaud). Cet épisode, aux prétendues intentions de couper court à la légende entourant l'incompétence de Louis XVI, en fait en réalité un quasi-martyr de la Révolution. A mon grand étonnement on dépeind un Louis XVI partisan d'une monarchie constitionnelle. Le pauvre roi avait la raison de la sagesse: enfermé à Paris par les ultras et les révolutionnaires intransigeants, quel autre choix avait-il que de fuir afin de retrouver les armées étrangères, non pas par trahison envers son peuple mais pour le bien commun de ses sujets. Un adepte avant l'heure de la "rupture tranquille"? Ou un besoin de rêve de chef à travers la "pagaille" en ces temps de crise? (Toute ressemblance avec l'actualité serait fortuite). A bon entendeur...
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S
Beaucoup aimé la façon dont le 1er volet a été traité ! Je serai donc devant ma télé ce soir pour ce 2ème volet. C'est bien la télé quand la télévision publique remplit pleinement son rôle
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J
face au foot et nouvelle star, ça pourrait créer la surprise.
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G
Hello,Cool, des émissions très sympa, une émission très tentante, mais les programmateur de France 2 me colle cela face à Lyon VS Barcelone, bon dieu , là mon coeur balance quel programme pour ce soir ????
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