Faut pas rêver, avec Tania Young ce soir : destination le Népal.

Environ une fois par mois, Faut pas rêver occupe la case dévolue les autres semaines à Thalassa. Prochain rendez-vous, ce vendredi 30 septembre à 20h35 sur France 3. Tania Young succède à Patricia Loison à la présentation de ce magazine.

Première destination : Le Népal.

Namaste ! C’est l’expression que l'on utilise à chaque moment de la journée et qui veut aussi bien dire : « Bonjour », « Bienvenue », « Heureux de vous rencontrer », « Au revoir », « Bonne route », « À bientôt », etc. Ajoutez à cela un sourire permanent… Bienvenue, vous êtes au Népal.

Depuis la vallée de Katmandou, Tania Young nous entraîne à la découverte de ce pays resté longtemps interdit aux étrangers pour devenir, dans les années soixante, le paradis des hippies. Un pays fascinant aux paysages époustouflants, des vallées du Teraï aux sommets de l’Himalaya. Un pays confronté aux évolutions du XXIe siècle, même si croyances et traditions règnent toujours en maître. Au fait… la traduction exacte de Namaste est : « Que toutes vos qualités soient bénies et protégées des dieux ».

Tania Young à propos de cette saison : "Nous allons découvrir beaucoup de pays : le Népal, l’Australie, Madagascar, et bien d’autres… Nous avons souvent des idées reçues sur les pays étrangers, et Faut pas rêver parvient justement à casser ces a priori et les clichés que nous avons sur bien des destinations. L’émission visite les pays dans leur ensemble, en s’intéressant à la fois à leur diversité culturelle, humaine, géographique... J’ai toujours aimé voyager loin. Avec ma première paye, je suis partie au Maroc, puis, une autre fois, après avoir travaillé cinq semaines en tant que serveuse à Hossegor, dans les Landes, je me suis envolée pour Tahiti.

(...) En amont, les rédacteurs en chef font un travail de recherche pour trouver des idées toujours plus originales, plus surprenantes, sublimées sur place par des réalisateurs de talent. Le tournage de chaque émission dure dix jours et nécessite un gros travail de préparation. Sur les tournages, nous partons à six : deux cadreurs, dont le réalisateur, l’ingénieur son, le rédacteur en chef, la chargée de production et moi. Sur place, nous bénéficions d’un guide. Je parle anglais, et même si mon espagnol n’est pas extraordinaire, je préfère ne pas avoir d’interprète pour rester au plus près de mes interlocuteurs."

Crédit photo © Sylvian Bergère - France télévisions 

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