Journée Michael Jackson ce dimanche 24 juin sur Arte: 12 heures de programmes.

 

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Une programmation consacrée entièrement à Michael Jackson, c'est ce que propose Arte ce dimanche 24 juin du début d'après-midi à la fin de soirée. Près de trois ans, jour pour jour, après sa disparition.

 

14.20 DOCTOR PRINCE & MISTER JACKSON

Documentaire de Philip Priestley (France, 2009, 1h)

Coproduction : ARTE France, Morgane Production (rediffusion)

“I’m bad” contre “His Royal Badness” : retour sur le duel des géants qui ont secoué la scène musicale des années 1980. Légendaire moonwalk pour l’un, sensualité brûlante pour l’autre. Comme aucun musicien noir avant eux, le “roi de la pop” et le “prince du funk” happent le public blanc et s’imposent, en à peine deux albums, en icônes planétaires…

 

15.30 THE JACKSONS (1 & 2) An American dream

Téléfilm de Karen Artur (États-Unis, 1992, 1h40mn et 1h30mn)

Avec : Lawrence Hilton-Jacobs (Joseph Jackson), Angela Bassett (Katherine Jackson), Alex Burrall (Michael Jackson 1), Jason Weaver (Michael Jackson 2), Billy Dee Williams (Berry Gordy)

Production : Universal

Une biographie romancée d’une famille devenue le symbole du succès à l’américaine, produite par l’un de ses rejetons. Quatrième enfant de la célèbre fratrie, Jermaine Jackson a adapté l’autobiographie publiée par sa mère Katherine. An American dream raconte donc la naissance d’un mythe, de la rencontre des deux géniteurs jusqu’a la tournée finale des Jackson Five.

 

18.45 PERSONNE NE BOUGE ! Spécial Michael Jackson

Une revue culturelle de Philippe Collin, Xavier Mauduit et Frédéric Bonnaud (France, 2012, 43mn)

Coproduction : ARTE France, Ex Nihilo »

Rencontre notamment avec Fabrice Sarret ,médium et auteur du livre Michael Jackson me parle (Éditions Grimal) qui narre la rencontre improbable entre l’écrivain et celui qui, depuis l’au-delà, souhaite rétablir nombre de vérités à son sujet.

 

19.45 MICHAEL JACKSON, UNE CARRIÈRE EN NOIR ET BLANC

Documentaire de Hannes Rossacher et Simon Witter (Allemagne, 2012, 52mn)

Son succès planétaire a fait tomber les barrières du racisme dans le showbiz américain. Pourquoi le «King of pop» s’est-il alors efforcé de devenir toujours plus blanc ? Au début des années 1980, Michael Jackson s’impose des transformations physiques spectaculaires : sa peau devient de plus en plus claire, son visage se modifie de façon inquiétante au cours d’opérations que son entourage justifie par des nécessités médicales. Que signifient ces changements d’identité paradoxaux, chez le premier chanteur noir à avoir conquis la masse du public blanc ?

 

20.40 MICHAEL JACKSON, THE IMMORTAL WORLD TOUR

Réalisation : Adrian Wills (Canada, 2012, 1h25mn)

Mise en scène : Jamie King

Production : Le Cirque du Soleil

Avec le Cirque du Soleil, un spectacle aux chorégraphies surdimensionnées ressuscite l’univers créatif de Michael Jackson… Un best of qui dépasse les codes habituels de la comédie musicale. Comment faire du Michael Jackson sans le King of pop himself ? Pour la célèbre compagnie canadienne du Cirque du Soleil, l’écueil était simple : ne pas tomber dans l’imitation pure en mettant en scène de simples sosies de l’idole disparue. L’option choisie par Jamie King, scénographe prisé par Madonna et Britney Spears, sera plutôt de mixer les genres. Vidéos, ballets, les fantaisies collectives et effets spéciaux se croisent à un rythme frénétique.

 

22.05 THE WIZ

Film de Sidney Lumet (États-Unis , 1978, 2h14mn)

Avec : Diana Ross (Dorothy), Michael Jackson (Scarecrow), Nipsey Russell (Tinman), Ted Ross (Lion), Richard Pryor (The wiz), Mabel King (Evillene)

Musique : Charlie Smalls

Orchestrations : Quincy Jones

En 1978, un Michael Jackson grimé mais virevoltant crève l’écran dans un remake funky du Magicien d’Oz. Dans ce film de Sidney Lumet, le chanteur alors âgé de 20 ans joue Scarecrow, l’un des personnages loufoques que rencontre Diana Ross dans un Harlem d’opérette. La star en devenir est alors affublée d’une perruque afro, d’une truffe piquée chez Pluto et d’un étonnant pelage en peluche. Une esthétique plutôt criarde qui n’empêcha pas les critiques de saluer sa prestation comme l’un des meilleurs moments du film.

 

0.15 MISS CAST AWAY AND THE ISLAND GIRLS

Film de Bryan Stoller (États-Unis , 2004, 1h30mn, VO STF)

Avec Eric Roberts (Maximus Powers), Charlie Sch latter, (Mike Saunders), Joyce Gir aud (Julie), Michael Jackson (l’agent M. J.)

Production : Island Production

Une production B loufoque, vraie curiosité avec un Michael Jackson dans un rôle surprenant. L’histoire commence comme un épisode de Lost et finit chez les Simpson. Un avion transportant de jeunes mannequins s’écrase dans un archipel. Mais l’île n’est pas déserte, puisque les miss sont attaquées par des cochons préhistoriques géants et des primates réchappés de la Planète des singes. Seul porteur d’espoir, Mickael Jackson est missionné par le Vatican pour sauver les bonnes âmes. Un film pastiche, dont certaines scènes ont été tournées à Neverland.

 

Crédit photo © Universal City Studios

 

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F
<br /> Chouette programmation en effet <br />
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P
<br /> Alors ça, c'est un VRAI et bel hommage ! Chapeau Arte !<br />
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