L'amour est dans le pré : audience du 15 juillet (Replay de l'émission).

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Lundi 15 juillet, M6 proposait la cinquième partie de L'amour est dans le pré saison 8. Un rendez-vous suivi les semaines précédentes par 5.6 à 6 millions de téléspectateurs.

 

La chaîne communique les résultats qui suivent, pour l'émission du 15 juillet :

5.8 millions de téléspectateurs. Programme leader toutes chaînes confondues.

Pic d'audience  à 6.4 millions.

27.3 % de part d'audience.

37.7 % de part d'audience sur la cible chérie des annonceurs, les ménagères de moins de 50 ans.

 

L'amour est dans le pré, épisode 5, est disponible sur M6Replay une semaine : http://www.m6replay.fr/#/l-amour-est-dans-le-pre/11303674-emission-5

 

Le sommaire de ce numéro où nous retrouvons 5 agriculteurs :

[ -Thomas, 29 ans, éleveur de chevaux dans la Somme. Après avoir emmené ses deux prétendantes au supermarché pour le fameux rituel des courses, ce sont enfin les premiers instants de complicités et les premières confidences pour notre trio.

- Sophie, 29 ans, éleveuse de vaches allaitantes, ovins et volailles Label Rouge, dans la Loire est en compagnie de Sylvain, un commercial alsacien de 30 ans. Matthieu, le second prétendant et coup de coeur de l'agricultrice depuis l'ouverture des courriers, n'est pas encore arrivé à la ferme pour des raisons professionnelles. C'est donc en tête-à-tête que nous retrouvons Sophie et Sylvain. Notre agricultrice restera pensive et peu prolixe, mais l'arrivée de Matthieu changera-t-elle quelque chose ?

- Fifi, 52 ans, éleveur de vaches allaitantes dans le Morbihan et DJ à ses heures, est aux côtés de ses deux prétendantes. Dès le premier dîner, Fifi a choisi de rassembler tous ses amis dans un endroit très insolite ! Cette idée sera-t-elle au goût de ces dames ?

- Gilles, 45 ans, éleveur de vaches allaitantes et de chèvres, dans les Alpes de Haute-Provence a invité deux femmes aux personnalités très différentes. Pour le premier dîner, Gilles a lui aussi choisi d'inviter des amis à partager leur table. Une solution peut-être pour éviter un éventuel conflit entre les prétendantes ?

- Jean-Louis, 51 ans, éleveur de brebis dans les Hautes-Alpes est aux côtés de Cathy, une aide à domicile du Poitou et Abigaël, auxiliaire de vie venue de Bretagne. Cette dernière considère depuis le début Jean-Louis comme son double au masculin… Mais ce sentiment se confirmera-t-il au fil des jours ?

Au programme de ce soir, deux premiers jours à la ferme, premières balades en tracteur pour certains et déjà les premiers rapprochements…]

 

Crédit photo E. Scorcelletti / M6.

 

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C
<br /> Quatre temps forts en ce qui me concerne hier soir :<br /> <br /> L'ultime épisode de THE CLOSER L. A. : Enquêtes prioritaires sur France 2 et le départ définitif de l'Inspector-chief BRENDA LEIGH JOHNSON, l'actrice KYRA<br /> SEDGWICK ayant décidé, après sept saisons, de rendre son tablier : un moment fort pour la chaîne et pour la fiction US !<br /> J'adorais cette série, toute sa troupe d'acteurs, Kyra Sedgwick en tête ...<br /> A noter le spin of Major Crimes où on retrouve toute l'équipe menée, cette fois, par le Capitaine Sharon Raydor alias Mary MacDonnell ( déjà récurente depuis la Saison 5<br /> + nombreux films dont Danse avec les loups, Passion Fish, Independence Day, Scream 4 et Margin Call, mais aussi séries : Grey's Anatomy et,<br /> surtout, LAURA ROSLIN dans BATTLESTAR GALACTICA ! ) <br /> <br /> La fin de la Saison 2 et le début de la Saison 3 de la série belge de langue flamande CODE 37 : Affaires de moeurs, menée par une<br /> comédienne d'exception, la chanteuse de Rock VEERLE BAETENS !<br /> Cette série captivante a séduit la Belgique avec son héroïne de charme qui allie féminité et caractère. Hantée par le viol de sa mère quelques années plus tôt, Hannah Maes, inspectrice à la<br /> brigade des mœurs de Gand, enquête sur les crimes sexuels. Pour mener à bien sa tâche, elle dirige son équipe avec détermination.<br /> On a là tout simplement une série qui peut rivaliser avec n'importe quelle série US, anglaise, scandinave, canadienne ou australienne et française et c'est dommage qu'on n'en parle pas plus<br /> !!!  <br /> <br /> Sinon, sur Canal + et donc enregistrée, " with a little help from my friends ", la mini-série anglaise CASE SENSITIVE, un bijou de la riche production britannique, cette<br /> fois " Obsession en si mineur " ( The other half lives ) où l'on retrouve la Londonienne OLIVIA WILLIAMS ( au cinéma : Rushmore, Sixième Sens, Une<br /> éducation, The Ghost Writer, X men, Anna Karénine ou The Heart of Me ( voir l'échec Postman ) , bref du lourd pour la brune aux yeux verts, et, en TV,<br /> Miss Austen Regrets ( Le Choix de Jane ) dans la prestigieuse Collection " JANE AUSTEN " et l'intégral de Dollhouse ) <br /> <br /> Enfin, j'ai les dvd, mais la chaîne Arte continue ses diffusions des chef d'oeuvre de LUIS BUNUEL, hier soir, LE CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE et<br /> CET OBSCUR OBJET DU DESIR, deux films dont l'éloge n'est plus à faire, je voudrais juste avoir une pensée pour DELPHINE SEYRIG qu'on retrouvait dans le<br /> premier et trop tôt disparue  :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.lexpress.fr/culture/cinema/mais-qui-est-delphine-seyrig_921206.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> " Actrice, réalisatrice et militante féministe, Delphine Seyrig a laissé derrière elle l'empreinte d'une femme élégante et combative.<br /> <br /> "Ce n'est pas une femme, c'est une apparition". C'est en ces termes qu'Antoine Doinel/Jean-Pierre Léaud parle de Fabienne Tabard/Delpine Seyrig dans Baisers volés de<br /> François Truffaut (1968). La comédienne à "la voix de violoncelle", dixit l'acteur Michael Lonsdale, trouva ses plus beaux rôles chez quelques cinéastes de la Nouvelle Vague, avant de se tourner<br /> vers le militantisme féministe, dans la vie comme au cinéma.<br /> <br /> Née en 1932 au Liban d'un père archéologue et d'une mère navigatrice, Delphine Seyrig passe son enfance d'un pays à l'autre. En 1952, elle s'installe en France, suit des cours de théâtre et<br /> décroche son premier rôle, avant de partir aux Etats-Unis. A New York, elle suit les cours de Lee Strasberg et découvre la méthode de l'Actor's Studio. C'est là-bas qu'elle obtient son premier<br /> rôle au cinéma dans Pull My Daisy de Robert Frank et Alfred Leslie, un film sur la beat generation dans lequel on retrouve Allen Ginsberg et Jack Kerouac (qui en a écrit le scénario). Repérée au<br /> théâtre par Alain Resnais, elle tourne dans L'année dernière à Marienbad (1961), où son interprétation empreinte d'une théâtralité énigmatique, lui vaut une reconnaissance immédiate.<br /> <br /> Delphine Seyrig devient alors l'incarnation d'une forme de modernité du cinéma français. Resnais la dirige à nouveau dans Muriel ou le temps d'un retour, en 1963, qui lui vaut la Coupe Volpi<br /> de l'interprétation féminine à Venise. Sous les traits de Fabienne Tabard, elle est objet de désir et de fascination dans Baisers Volés de François Truffaut (1968), se transforme en fée<br /> extravagante pour Jacques Demy dans Peau d'âne (1970), se pare des habits de l'envoûtante comtesse Bathory dans Les lèvres rouges (1971) d'Harry Kümel et se fait tour à tour prostituée et grande<br /> bourgeoise pour Luis Buñuel dans La Voie lactée (1969) et Le Charme discret de la bourgeoisie (1972). Elle tourne également pour les cinéastes William Klein (Qui êtes-vous Polly Magoo?, 1966, Mr<br /> Freedom, 1969) et Joseph Losey (Accident, 1966, Maison de poupée, 1973).<br /> <br /> Du cinéma au féminisme, il n'y a qu'un pas<br /> <br /> Mais Delphine Seyrig est aussi une femme de conviction. Militante féministe engagée, elle signe, aux côtés de Catherine Deneuve, Jeanne Moreau, Romy Schneider ou Simone de Beauvoir, le<br /> "manifeste des 343 Salopes", publié en avril 1971 dans Le Nouvel Observateur, et participe quelques mois plus tard à la Marche des Femmes. Au cinéma, elle se tourne vers des réalisatrices dont<br /> elle apprécie la vision nouvelle. Elle collabore notamment avec Marguerite Duras sur quatre films (La Musica, 1967, India Song, 1975, Son nom de Venise dans Calcutta désert, 1976, et Baxter, Vera<br /> Baxter, 1977), avec Chantal Ackerman sur Jeanne Dielman, 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles (1975), mais aussi avec Liliane de Kermadec, Patricia Moraz, Pomme Meffre ou l'artiste expérimentale<br /> et anticonformiste allemande Ulrike Ottinger.<br /> <br /> C'est tout naturellement que Delphine Seyrig passe de l'autre côté de la caméra. Avec Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et activiste féministe, elle réalise deux films militants et<br /> impertinents: Maso et Miso vont en bateau en 1975, et SCUM Manifesto l'année suivante. De 1976 à 1981, l'actrice s'attèle à la réalisation d'un documentaire, Sois belle et tais-toi, compilation<br /> d'une vingtaine d'entretiens qu'elle a menés avec des actrices françaises, anglaises et américaines (parmi lesquelles Shirley McLaine, Jane Fonda, Maria Schneider, Marie Dubois ou Ellen Burstyn),<br /> qui s'expriment sur leur expérience professionnelle, la place et les rôles que le cinéma veut bien leur donner. Avec ses camarades féministes, elle fonde en 1982 le Centre audiovisuel Simone de<br /> Beauvoir, consacré à la mémoire des luttes des femmes.<br /> <br /> La comédienne s'éteint le 15 octobre 1990, à l'âge de 58 ans, des suites d'un cancer du poumon.<br />
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