Mercredi dernier, un article du Canard enchaîné évoquant des pratiques "anticoncurentielles" de la centrale d'achat de Leclerc et sa condamnation par la Cour
d'appel de Versailles.
Et selon l'hebdomadaire satirique, plus d'un lecteur n'a pas pu acheter le Canard dans son habituelle grande surface...Un responsable de l'espace culturel d'un Leclerc a expliqué à un lecteur
l'absence du journal parce que le paquet est arrivé mouillé. Dans le centre appartenant à la soeur de Michel-Edoaurd Leclerc, une vendeuse croyait savoir que Le Canard n'était pas paru.
Coïncidences ?
La pique du Canard ce mercredi : "Comme quoi Michel-Edoaurd Leclerc et les siens sont des adeptes de la liberté des prix mais pas des acheteurs de journaux"...