Le sang de la vigne : 3 épisodes en tournage.

Les larmes de Pasquin, premier épisode de la série Le sang de la vigne, fiction mettant en vedette Pierre Arditi, était diffusé le samedi 12 février à 20h35 sur France 3.

Après le succès du premier épisode qui a réuni plus de 4,2 millions de téléspectateurs pour une part d'audience de 18,8 %, trois nouveaux épisodes sont tournés cet été en Aquitaine et en Poitou-Charentes.

Pierre Arditi, grand amateur de vin, se glisse à nouveau dans le rôle de Benjamin Lebel, œnologue réputé, pour percer les mystères de ces crimes et peut-être même retrouver les assassins…

D’après les romans éponymes de Jean-Pierre Alaux et Noël Balen, éditions Fayard. Episodes réalisés par Marc Rivière et Aruna Villiers. Avec Pierre Arditi, Catherine Demaiff, Yoann Denaive, Vincent Winterhalter, Claire Nebout.

Pierre Arditi, lors de la diffusion du "pilote" : "Tourner dans le milieu de la vigne et du vin m’a beaucoup séduit, mais j’ai aimé aussi l’angle d’attaque de la série. L'enquête n’est pas guidée par un flic mais par un œnologue. Même si les mécanismes du polar sont présents, ce sont la sensibilité, la culture et la personnalité de Benjamin Lebel qui permettent de percer le mystère de ces crimes. La démarche narrative est donc différente de ce qui se fait habituellement en matière de fiction policière.

Décontracté et iconoclaste Lebel est un homme à l’humour caustique qui se comporte parfois comme un ours. Il fait preuve d’une décontraction qui lui fait saisir et vivre à sa manière tout ce que la vie propose. J’aime cette façon peu classique et conventionnelle qu’il a d'apprécier son environnement. Mais ce qui me séduit le plus, au fond, c’est qu’il est iconoclaste. Mon personnage est rarement là où on l’attend. Il ne prévoit rien, se cale ou se décale en fonction des circonstances. Il parvient même à être imprévisible pour lui-même… !

Grâce à sa profession, il possède une mémoire olfactive indispensable à l’enquête. Lebel pose ensuite un regard inhabituel sur la morphologie psychologique des crimes commis. Son intuition comme sa perception sont fondées sur une analyse des rapports humains très terrienne. Cette approche, ajoutée à sa culture, sont autant d’atouts pour décoder les verrous et les spécificités de l’univers viticole".

Crédit photo © Jean-Claude ROCA / TELECIP.