Les affaires sont les affaires ce 10 août sur France 3, avec Clavier, Chevallier, Laspalès.

Les affaires sont les affaires. Une comédie inédite avec Régis Laspalès, Philippe Chevallier et Christian Clavier, diffusée le samedi 10 août à 20h45 sur France 3.

Avec :

Régis Laspalès (Isidore Lechat)

Christian Clavier (Le Marquis de Porcellet)

Sophie Artur (Madame Lechat)

Marie Kremer (Germaine Lechat)

Philippe Chevallier (Gruggh)

Sébastien Thiéry (Phinck)

Pierre Vernier (L’intendant)

Félicien Juttner (Lucien Garraud)…

Grâce au pouvoir de l’argent, Isidore Lechat, un parvenu sans scrupules, tyrannise sa femme, s’oppose au bonheur de sa fille, humilie ses serviteurs, pousse au suicide un ancien associé, écrase ses adversaires et roule dans la farine ses partenaires. Alors que sa fille idéaliste s’enfuit avec un garçon pauvre, son fils débauché, qu’il adore, trouve la mort dans un accident d’automobile. Mais ces événements tragiques n’empêchent pas Lechat de traiter une affaire juteuse… Les affaires sont les affaires !

Un film réalisé par Philippe Bérenger.

Adapté par Gérard Jourd’hui et Anne Andrei.

D’après l’œuvre d’Octave Mirbeau.

Note d’intention du réalisateur :

"Porter à l’écran une pièce de théâtre datant du début du siècle dernier représentait un défi mais la qualité du texte et sa modernité, ainsi que le casting, ont porté ma mise en scène tout au long du tournage.

En cette période troublée par les affaires financières, le film impose une résonance particulière à cette terrible conclusion : la face sombre de l’âme humaine est éternelle et les affaires restent les affaires.

Mais il ne fallait ni angoisser ni ennuyer le téléspectateur. J’ai donc opté pour le rythme et le mouvement. Dans un château a priori paisible, l’histoire se déroule d’une pièce à l’autre, d’une émotion à l’autre. En effet, avec des acteurs tels que Régis Laspalès, Christian Clavier, Sophie Artur, Marie Kremer, Philippe Chevallier, Sébastien Thiery et Pierre Vernier, entre autres, je ne pouvais pas priver le film de moments de pure comédie. Ainsi se dirige-t-on en riant jaune vers le dénouement final, dans un tourbillon de sentiments que l’on pourrait qualifier de tragi-comédie… ou de farce noire.

Ce film reste pour moi une fierté et un vrai souvenir de plaisir, que j’espère, partagé".

Philippe Bérenger

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