26 Novembre 2011
Tournage jusqu'au 30 novembre à Rennes et en Ile de France d'un téléfilm destiné à une diffusion sur France 2, Médecin-chef à la Santé.
D’après « Médecin-chef à la prison de la Santé » de Véronique Vasseur. Edité par Le Cherche Midi.
Un film réalisé par Yves Rénier, écrit par Jean-Luc Estebe et Véronique Vasseur.
Production Capa Drama – Claude Chelli/ Hervé Chabalier.
Avec :
Mathilde SEIGNER / Séverine Vincent
et
Samuel LABARTHE / Richard Vincent
Youssef HAJDI / Driss Chahidi
Jérôme ROBART / Olivier Meignan
Valérie DASHWOOD / Raphaëlle
Hyacinthe IMAYANGA / Bruno Makélé
Luc-Antoine DIQUERO / Pierre Jablonski
Stéphan WOJTOWICZ / Gilles Thiercelin
Jean-Pierre MALIGNON / Denis Malvois
Philippe RESIMONT / Brice Edelman
Alain CERRER / Alain Muller
Paul BELMONDO / Brismontier
Philippe FRETUN / Régis Poletti
Médecin-chef à la prison à la Santé, Séverine Vincent n’a jamais été formée pour ça. C’est presque par hasard qu’elle accepte un jour de remplacer temporairement un collègue. Les premiers jours à la Santé sont un choc… Puis progressivement, la révolte va remplacer la peur. Parce qu’elle ne supporte pas l’injustice, elle va prendre en charge un combat où elle va s’investir au point d’y perdre ses illusions, son mari, et presque sa vie. Elle en sortira meurtrie, mais grandie.
L'avis de la FNAC sur ce livre : V. Vasseur, entrée à la Santé comme médecin de garde en 1992, y a été nommée médecin-chef en 1993. Son livre soulève un véritable tollé dans les milieux carcéral et politique. Les aberrations de la prison y sont décrites, à travers des anecdotes incroyables : guerre entre cafards et punaises, médecin trafiquant, prostitution, tentatives désespérées de se donner la mort ou d'attirer l'attention. Mais on peut aussi y découvrir de beaux moments : opéra des prisonniers, expositions, matchs de foot. De ce carnet de bord dénonciateur - et très bien écrit - se dégage avant tout une grande humanité, et une émotion qui n'a rien de complaisant.
Mise à jour du 26 novembre.
Pour le Parisien, Yves Rénier explique avoir transformé le bouquin pour raconter le combat d’une femme à la Erin Brockovich, seule face à l’administration. "On est plus soft car on ne pouvait pas montrer la violence inhérente au système carcéral sur France 2. Cependant, on l’évoque dans les dialogues, on la suggère comme dans une scène où l’on entend des cris derrière une porte où a lieu un viol". Mathilde Seigner ajoute que cette fiction est pour elle une forme de militantisme, car derrière, il y a un combat social : améliorer les conditions de détention.
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