24 Mai 2015
Certains noms comme celui d’Irène Fréchon pour le Médiator, sont associés à des scandales. Ils sont appelés des « lanceurs d’alerte ».
Leur statut est peu protégé dans nos sociétés alors qu’aux Etats-Unis, ils peuvent être rémunérés. Happés dans le scandale, les « lanceurs d’alerte » deviennent des victimes. Alors, quelle est la responsabilité des journalistes à qui ces « lanceurs d’alerte » apportent les preuves de ces scandales ? Doivent-ils bénéficier d’une rétribution pour réparer les conséquences morales et sociales de leurs révélations ?
Débat ce dimanche midi lors du magazine Médias Le Mag. Présenté par Thomas Hugues à 12h35 sur France 5.
Invités : Stéphanie Gibaud, auteure de La femme qui en savait trop ( Editions du Cherche midi ) et Maître Jonathan Mattout, avocat au barreau de Paris.
Crédit photo © La Fabrik, pour France 5 / Christophe Fillieule.
Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
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