16 Février 2022
Chaque mercredi soir sur M6, dès ce 16 février, saison 13 du programme à succès Top Chef. Ci-dessous, le descriptif des 15 participants.
PASCAL BARANDONI, 21 ans, Cuers (Var).
Photo : 1er rang en haut, 1er en partant de la gauche.
Titre de “Meilleur Apprenti de France” 2020 et vainqueur “Objectif Top Chef”.
Pascal a été formé par les meilleurs dont Eric Frechon et Alain Ducasse, et vient d’être diplômé d’un BTS Management en Hôtellerie-Restauration au lycée polyvalent Anne-Sophie Pic en 2021.
Très proche de sa famille, sa passion pour la cuisine vient de son grand-père fermier. Il aime travailler la cuisine du terroir, comme le gibier et les poissons, tout ce qui correspond à ses passions. Il a une cuisine plutôt classique mais toujours bien maîtrisée et surtout très technique ! Au fur et à mesure de la compétition “Objectif Top Chef”, le chef Etchebest a attendu de Pascal qu’il soit un peu plus original en apportant dans ses assiettes plus de twist ainsi que de meilleurs dressages !
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LOUISE BOURRAT, 27 ans, Portugal.
Photo : 1er rang en haut, 2e en partant de la gauche.
Louise a commencé à “L’Hostellerie de “L’Abbaye de la Celle” * et au “Chalet de la Forêt” **. Elle a ensuite été cheffe de partie au “Bar Boulud” au “Mandarin Oriental Hyde Park” puis cheffe privée et consultante à “El Franchute del Barrio” au Chili. D’origine portugaise, Louise est aujourd’hui cheffe du restaurant “BouBou’s” à Lisbonne qu’elle a ouvert avec son frère qui officie en salle.
Féministe, engagée et ayant connu des expériences difficiles en tant que jeune cuisinière, sa brigade de cuisine est majoritairement féminine !
Louise est rock’n’roll et ne rentre pas dans les codes. Elle aime cuisiner les produits mal aimés comme la langue ou le foie. Elle a une cuisine de goût, percutante et piquante, avec une démarche qui tend vers le zéro déchet, utilisant des produits de la cueillette urbaine et sauvage. Sa cuisine mêle des saveurs du monde, empruntées lors de ses nombreux voyages, à celles de sa double culture française et portugaise.
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LILIAN DOUCHET, 28 ans, Beauvais (Oise).
Photo : 1er rang en haut, 3e en partant de la gauche.
Lilian a commencé chef de partie à “L’Assiette Champenoise” *** puis à “L’Amandier” et au “Paloma” **. Il devient ensuite sous-Chef à “La Truffière” * et à “L’Orangerie” *. Après ces expériences, il décide d’ouvrir son propre restaurant mais la Covid en décide autrement... Ne pouvant réaliser son rêve et ne souhaitant pas retravailler pour quelqu’un, il décide de se reconvertir. Il est aujourd’hui directeur d’un hypermarché.
Lilian n’a pas cuisiné depuis 2 ans. Il voit en Top Chef une renaissance, un nouveau départ, l’occasion d’accomplir enfin ses rêves ! Très perfectionniste et se mettant une grosse pression, il sait que Top Chef représente un véritable challenge pour lui et qu’il n’a pas le droit à l’erreur !
Lilian a une cuisine gastronomique, technique, de palace grâce à ses différentes expériences. Il aime “l’équilibre dans le déséquilibre” et cherche à donner “un orgasme culinaire” à travers ses assiettes.
MICKAEL BRAURE, 33 ans, Libercourt (Pas de Calais)
Photo : 2e rang, 1er en partant de la gauche.
Après son lycée hôtelier, Mickaël est allé à Lille pour se former à “L’Huitrière” *. À 21 ans, il se retrouve Chef de parti au “Sébastopol” * puis second de cuisine chez Marc Meurin **. A 25 ans, Mickaël ouvre un premier restaurant avec un associé. En 2019, il ouvre le Bistrot du “Witloof” dans la campagne lilloise, dont il est originaire.
Mauvais élève, le Ch’ti Mickaël a dû très vite trouver un métier qui allait lui plaire et lui permettre de se libérer. Il a failli être électricien mais, daltonien, il a dû trouver un autre métier. L’école hôtelière a été une révélation et il s’est fait une place dans un milieu inconnu pour lui. Issu d’une famille modeste avec des grands- parents miniers, il est la fierté de sa famille. Son objectif a très vite été les restaurants étoilés. “J’ai voulu faire des grandes maisons, pour découvrir un monde qui ne m’était pas accessible, et faire goûter des produits de luxe à mes parents”. Très compétiteur, Top Chef est pour lui l’occasion de prouver que peu importe d’où l’on vient, tout est possible dans la vie.
Mickaël qualifie sa cuisine de paysanne et sexy. Sa devise : “Le gras, c’est la vie”. Il aime également surprendre ses clients et cuisiner des produits peu communs comme l’utérus de cochon pour en faire des beignets. 😲
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AMBROISE VOREUX, 26 ans, Bréhémont (Indre-et-Loire)
Photo : 2e rang, 2e en partant de la gauche.
Ambroise a enchaîné les stages. Il a ensuite été sous-chef de cuisine dans un restaurant d’altitude en saison. Il est aujourd’hui Chef propriétaire du restaurant “La Cabane à Matelot”.
Ses expériences de plusieurs mois en Nouvelle-Zélande, au Pérou et au Japon ont beaucoup influencé sa cuisine. Avec son style bien à lui, bonnet en guise de toque et pantalons “loufoques” cousus par sa maman dont il est très proche, Ambroise ne passe pas inaperçu tant par son look que sa cuisine !
Son univers culinaire ? Une cuisine hyper créative et 100% locale. Une affinité particulière pour le travail du poisson et les herbes aromatiques. Il aime notamment mettre à l’honneur des poissons méconnus ou décriés et les travailler de A à Z.
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WILFRIED ROMAIN, 28 ans (Val-de-Marne)
Photo : 2e rang, 3e en partant de la gauche.
Après avoir fait ses débuts au Luxembourg dans un restaurant étoilé, Wilfried décide de partir travailler à Melbourne en Australie. A son retour en France, il rejoint Thierry Marx au “Mandarin Oriental” en tant que demi-chef de partie, puis le “Burgundy” comme chef de partie. Wilfried décide de partir voyager et de travailler aux quatre coins du monde. De retour à Paris, plusieurs expériences s’offrent à lui dont une à “L’Orangerie” au Georges V. Il se définit comme un cuisinier voyageur. Ses voyages et rencontres aux quatre coins du monde ont fait de lui le cuisinier qu’il est aujourd’hui. Avec ses 1m97, difficile de ne pas le remarquer.
Univers culinaire : Une cuisine de “retour de voyage”. Il est influencé par les techniques et les rencontres faites lors de ses voyages à travers le monde. Avec sa cuisine ouverte sur le monde, il veut faire voyager grâce à des associations et des produits inattendus.
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ELLIOTT VAN DE VELDE, 32 ans, Bruxelles.
Photo : 2e rang, 4e en partant de la gauche.
Cuisinier autodidacte et atypique, Elliott a créé de nombreux concepts dans l’événementiel bruxellois avant d’avoir un coup de cœur pour la cuisine. En 2016, il décide de se mettre à son compte et crée sa société d’événements culinaires “Little Chef”, qu’il complète d’une seconde structure à but non lucratif en 2019, “Hearth Project”.
Elliott a un cerveau toujours en ébullition, il a une approche intuitive de la cuisine qui lui offre une créativité sans borne. Sa vision à 360° et son hypersensibilité lui permettent, en un coup d’œil, d’appréhender son environnement et de s’adapter à ses équipes. Diagnostiqué Haut Potentiel Intellectuel, Elliott a souvent été mal compris. La cuisine est son mode de communication, son moyen de s’exprimer. Il a envie de montrer grâce à Top Chef qu’il est idéaliste et pragmatique, mais avec une imagination débordante. Fondateur de l’association “Hearth Project”, qui a pour but de proposer des repas gastronomiques à base d’invendus alimentaires, Elliott a une cuisine engagée dans le zéro déchet et lutte contre la précarité sociale.
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LUCIE BERTHIER GEMBARA, 32 ans, Rezé (Loire-Atlantique)
Photo : 2e rang, 5e en partant de la gauche.
Aujourd’hui cheffe de son propre restaurant “Sépia”, Lucie a d’abord travaillé pour Gérald Passedat au “Petit Nice” *** puis avec Alexandre Mazzia ***, son mentor.
La cuisine n’a pas toujours été une évidence pour Lucie. Elle commence d’abord par faire du commerce international. Le décès de son père en 2010 est un électrochoc, et elle décide de suivre son cœur. Elle utilise une partie de son héritage pour se lancer dans la cuisine en suivant une formation culinaire à l’institut Paul Bocuse. Après avoir fait ses premières armes chez “Passedat”, elle part travailler avec Alexandre Mazzia qui a beaucoup compté dans sa vie professionnelle. Ne se sentant pas prête, elle refuse une promotion chez lui et éprouve encore beaucoup de regrets à ce sujet. Après la naissance de son fils, Lucie souhaite gagner en indépendance et faire sa cuisine. Elle décide alors de devenir propriétaire de son propre restaurant, “Sépia”. Seule en cuisine, elle peut laisser parler toute sa créativité à travers ses assiettes. Lucie voit en Top Chef la chance de sa vie ! Véritable tremplin pour elle, cela lui permettrait de développer son restaurant et de pouvoir avoir une brigade à ses côtés. Elle aimerait beaucoup retrouver Alexandre Mazzia sur une des épreuves de Top Chef pour lui prouver qu’elle a réussi, malgré son erreur.
Elle travaille des produits locaux et essentiellement du végétal. Ses assiettes sont souvent agrémentées d’une touche orientale.
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ARNAUD DELVENNE, 36 ans (Belgique)
Photo : 2e rang, 6e en partant de la gauche.
Arnaud a commencé comme serveur au restaurant “Menta e Rosmarino” puis assistant manager chez “Quick” et cuisinier en prison. Il ouvre son propre restaurant “L’Atelier du Goût” et devient ensuite Chef de cuisine au restaurant “Le Moment”.
Arnaud a un parcours atypique ! Elève perturbateur un peu foufou, il était en échec scolaire. Renvoyé de l’école, il fait l’école hôtelière et se découvre une nouvelle passion.
En mars 2021, Arnaud pesait plus de 115 kg. Il a entrepris un régime et subi une opération : il a perdu 50kg en quelques mois. Cette perte de poids spectaculaire modifie totalement sa vision de la cuisine. Il propose maintenant une cuisine light et diététique. Hyperactif, sans filtre, et plein d’humour, son entourage le surnomme “la pile” ou “le taureau” !
LOGAN DEPUYDT, 35 ans, Falaen (Belgique)
Photo : rangée du bas, 1er en partant de la gauche
Il est aujourd’hui Chef propriétaire du restaurant “L’artiste de Falaen” et chef consulting au restaurant “Delahaut”.
Logan est tombé dans la marmite de la cuisine ! Sa maman tenait une brasserie et il a toujours baigné dans le monde de la restauration. Tout petit, il faisait des concours de taillage de légumes avec le Chef de la brasserie familiale. Sa maman a bien tenté de le dissuader de faire ce métier, mais la passion de Logan est plus forte et il réussit à imposer son choix. Jeune turbulent, pas toujours sur le droit chemin, la cuisine lui a apporté un cadre, une route à suivre : “la cuisine m’a sauvé”. Malgré son tempérament de feu, ses tatouages, son look rock’n’roll avec sa casquette, Logan cache en réalité une cuisine raffinée, féminine, “ma cuisine c’est l’opposé de moi ! Moi je suis brut, tatoué, speed, ma cuisine elle est raffinée, féminine.” Personnage haut en couleur et hyperactif, il utilise son grain de folie au profit de sa cuisine ! Il n’a pas fait de restaurants étoilés mais en a fait une force. “Je n’ai pas de code, pas de cadre, c’est la liberté !”
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TANIA CADEDDU, 29 ans, Paris.
Photo : rangée du bas, 2e en partant de la gauche
Tania a commencé auprès de Gordon Ramsay en tant que demi-cheffe de partie au “Fort Village Ressort” en Italie. Elle a ensuite été cheffe de partie au restaurant “Pottoka” à Paris auprès des chefs Sébastien Gravé et Louise Jacob. Après avoir été cheffe de partie au “Ritz”, elle est aujourd’hui cheffe du restaurant de Juan Arbelaez à Paris, “Vida”, depuis 3 ans.
Originaire de Sardaigne, Tania rêvait d’une carrière en France, emblème de la gastronomie. Elle quitte alors son pays natal pour accomplir son rêve. Arrivée en France il y a 8 ans, elle voulait s’affirmer seule et ne dépendre de personne. Elle est arrivée sans savoir parler le français ce qui n’a pas été sans difficulté en cuisine, mais elle a su se débrouiller seule et a réussi à se faire une place dans le métier.
Son univers culinaire : Une cuisine méditerranéenne healthy mais riche en goût. Tania se met au défi de faire de la cuisine gourmande pour des clients végans et végétariens.
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RENAUD RAMAMOURTY, 31 ans (Hauts-de-Seine)
Photo : rangée du bas, 3e en partant de la gauche
Renaud a démarré au “Laurent” *, et a ensuite enchaîné de belles maisons étoilées : “Le Cinq” **, “Le 144”, “L’Hexagone” * et “L’Histoire” ** où il était sous-chef. Il est aujourd’hui chef exécutif chez “Petrossian” et d’autres projets avec la maison sont en cours.
Sa passion lui vient de ses parents. Il considère sa maman, à qui il doit tout, comme son idole. Tout petit déjà, il aimait cuisiner à ses côtés. C’est elle qui lui a appris les premières associations de saveurs et les premières techniques. Son papa, ancien militaire, lui a appris la rigueur dont un cuisinier a besoin.
Compétiteur dans l’âme, il s’était inscrit à la première saison de Top Chef. Malheureusement pour lui, il n’avait pas réussi à finir son plat et avait été le premier éliminé du concours. Cette année sonne donc comme une revanche pour Renau.
Univers culinaire : Une cuisine de technique française avec des touches indiennes, une cuisine colorée et épicée.
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THIBAUT SPIWAK, 35 ans, Paris
Photo : rangée du bas, 4e en partant de la gauche
Après des débuts comme commis au “Cinq” ***, il devient demi-chef de partie au “One O One” puis au “Senderens” * auprès de Jérôme Banctel. Il devient ensuite sous-chef au “Jules Verne” * et Chef de cuisine à “L’Hôtel Particulier Montmartre”. Il est aujourd’hui Chef propriétaire du restaurant “Anona”.
Bon élève mais adolescent rebelle, Thibaut ne se retrouve pas dans le système scolaire et plaque tout en première S pour s’inscrire dans un lycée hôtelier. Son père est contre mais il arrivera à le convaincre et à le rendre fier par un parcours exemplaire. Cuisinier créatif et engagé, Thibaut propose dans son restaurant une cuisine gastronomique audacieuse et écoresponsable. Cette démarche le pousse à choisir méticuleusement les ingrédients de ses plats (produits de saison, locaux, respect du bien-être animal...) et à les travailler d’une certaine manière (travail du produit de A à Z, réduction des déchets, limitation de la consommation d’eau...) Chaque contrainte l’oblige à faire preuve de créativité pour trouver des solutions concrètes et vertueuses. Il veille également à l’impact environnemental de son restaurant (ampoules basse consommation, tireuse à eau pour éviter les contenants...) et souhaite que son restaurant ait la plus petite empreinte carbone possible. Il fait d’ailleurs partie des 50 premiers Chefs à avoir obtenu l’étoile verte Michelin.
Thibaut souhaite faire Top Chef pour rendre hommage à sa sœur Virginie, disparue tragiquement en 2021. Il veut également rendre fiers ses parents, qui l’ont toujours soutenu.
Thibaut a une cuisine écoresponsable. Il accorde une grande importance au respect du produit. Il a également une cuisine provocatrice avec l’envie de surprendre ses clients en utilisant des produits peu communs, comme le chanvre, les abats ou encore les escargots.
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ELIS BOND, 29 ans (Seine-Saint-Denis)
Photo : rangée du bas, 5e en partant de la gauche
Véritable autodidacte, à seulement 21 ans, Elis a ouvert son restaurant traditionnel antillais, avant de devenir Chef à domicile. Il est aujourd’hui Chef propriétaire du restaurant “Mi Kwabo” à Paris et a obtenu la distinction de Jeunes Talents “Gault & Millau” en 2019 et “L’Assiette Michelin” en 2021.
Elis est né en Guyane et est arrivé en métropole à l’âge de 6 ans avec sa famille. Séparé de sa maman et de ses 11 frères et sœurs pendant un an, il se renferme complètement sur lui-même. À l’école, il est en échec scolaire. Jusqu’en 6ème, il ne sait pas lire et est considéré comme le vilain petit canard. Tout le monde se moquait de lui. Elis s’est souvent sous-estimé. Grâce à la cuisine, il apprend à avoir confiance en lui. Il n’a aucun diplôme de cuisine. Il a commencé plongeur et a monté les échelons jusqu’à devenir Chef de son propre restaurant.
Pour lui, la cuisine est un art éphémère qui reste dans la tête et dans le cœur. Très jeune, un de ses professeurs lui avait dit qu’il avait de l’or entre les mains. Il met son talent au service de la cuisine et il commence toujours par dessiner ses plats : “Mes plats sont comme des tableaux”. Très fier de ses distinctions, il se sent enfin faire partie de la grande famille de la cuisine.
Elis définit sa cuisine en 3 mots : instinctive, créative et métissée. Il se voit artiste avant d’être cuisinier. On retrouve sa créativité avec des jeux de couleurs et de textures. Il a une cuisine métissée d’influence africaine et des îles d’Outre-Mer.
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SÉBASTIEN RENARD, 27 ans, Caudry (Nord)
Photo : rangée du bas, 6e en partant de la gauche
Sébastien fait ses armes au “Meurice” avec Alain Ducasse en tant que chef de partie puis au restaurant “Le Papillon” avec Christophe Saintagne. Il devient ensuite sous-chef de Marc Meurin au “Château de Beaulieu”**. Il réfléchit aujourd’hui à ouvrir son propre restaurant dans les Hauts-de-France et proposer une cuisine qui lui ressemble.
Sébastien est un personnage drôle et très attachant. Son excentricité n’empêche pas une grande technicité et rigueur. Il vise toujours l’excellence et définit sa cuisine comme “laser”. Très maniaque, tout doit être parfait, de l’ouverture de la brique de lait jusqu’au dressage ! Sébastien a envie de faire Top Chef pour rendre fière sa famille. Très fier de ses origines, et de son terroir, il a envie de montrer que tout ne se passe pas à Paris et que même en venant de la campagne du Nord, on peut réussir !
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