Une sélection de 3 (bons !) programmes à voir ce dimanche 23 octobre en soirée (Ancêtres, sous-marin nucléaire et Cinecittà).

23 Octobre 2022

Une sélection de trois (bons !) programmes à découvrir ou à revoir en première ou en deuxième partie de soirée.

Ce dimanche 23 octobre :

20h45, Néandertal, à la rencontre de nos ancêtres (Ushuaïa TV).

20h55, USS Alabama (ARTE).

22h45, Cinecittà, de Mussolini à la Dolce vita (France 5).

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Il y a décidément de bons docs sur Ushuaïa TV. Après L'hypothèse de Zimov hier, rendez-vous à 20h45 ce soir avec les deux parties de Néandertal, à la rencontre de nos ancêtres (2x52'). Réalisé par Vikram Jayanti.

L'archéologue Ella Al-Shamahi et l'acteur Andy Serkis (Le Seigneur des Anneaux) font revivre les hominidés préhistoriques grâce à des techniques d’animation, révélant des similitudes surprenantes avec les humains modernes.

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Réalisé par Tony Scott, écrit par Michael Schiffer, le film américain USS Alabama - sorti dans les salles au milieu des années 90 - est rediffusé à 20h55 sur ARTE. Avec Denzel Washington (Hunter), Gene Hackman (Ramsey), Viggo Mortensen (Weps), George Dzundza (Cob), Matt Craven (Zimmer), James Gandolfini (Lt. Bobby Dougherty).

Alors que le conflit en Tchétchénie s’étend dans le Caucase et que la Russie s’enfonce dans la guerre civile, un groupuscule nationaliste prend le contrôle d’une base de lancement de missiles atomiques près de Vladivostok, menaçant la sécurité mondiale. Le sous-marin nucléaire américain USS Alabama reçoit l’ordre de faire route vers la zone pour surveiller les agissements de la faction terroriste. Mais un violent face-à-face oppose le commandant à son second, les deux hommes se déchirant sur l’opportunité de recourir ou non à la force nucléaire. Une mutinerie éclate sur le bâtiment.

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Document inédit à 22h45 sur France 5, Cinecittà, de Mussolini à la Dolce vita. Par Jeanne Burel et Emmanuelle Nobécourt.

De 1937 aux années 1960, de Scipion l’Africain à la Dolce vita, Cinecittà a été un véritable laboratoire politique de l’Italie. Pendant vingt-cinq ans, au cœur de ces studios créés par Mussolini lui-même pour assurer sa propagande fasciste, les réalisateurs italiens ont réussi à contourner les pressions politiques et la censure, à survivre à la guerre et ses désolations, à faire face à la concurrence américaine.

Alors que ces défis auraient pu signer la fin du cinéma italien, c’est au contraire dans ces difficultés que les cinéastes ont trouvé la force de créer un mouvement artistique de premier plan et un cinéma d’un genre nouveau. Et à faire de Cinecittà le témoin privilégié de la réalité de la société italienne, son miroir véritable, et surtout le principal ambassadeur de l’Italie à travers le monde.

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