Affaire Johnny Depp / Amber Heard - La justice à l’épreuve des réseaux sociaux : document puis plateau ce dimanche sur France 5.

Sur France 5, plusieurs fois dans l'année, La fabrique du mensonge » est une collection documentaire portée par Karim Rissouli qui explique comment naissent et se propagent les fausses informations, qui en sont les instigateurs et comment ont contre-attaqué ceux qui en ont été la cible.

Documentaire inédit de 80 minutes ce dimanche 12 février à 20h55 : Affaire Johnny Depp / Amber Heard - La justice à l’épreuve des réseaux sociaux. Un film de Cécile Delarue.

Affaire Johnny Depp / Amber Heard - La justice à l’épreuve des réseaux sociaux : document puis plateau ce dimanche sur France 5.

"Johnny Depp contre Amber Heard. L’histoire de deux stars d’Hollywood qui s’accusent de violence conjugale, lors d’un procès pour diffamation diffusé en direct sur Internet, et commenté dans le monde entier.

Au printemps 2022, cette frénésie médiatique s’est accompagnée d’une campagne de haine et de dénigrement en ligne sans précédent contre Amber Heard. Derrière les railleries habituelles des réseaux sociaux se cache en réalité une campagne orchestrée par des groupes d’hommes en colère, qui depuis des années font de la haine contre les femmes leur priorité : les masculinistes. Des hommes qui voient le mouvement MeToo comme une menace, et estiment que le féminisme met nos sociétés en danger.

Pour eux, le procès est l’occasion inespérée de remettre en cause la parole des femmes et de faire basculer l’opinion. Parmi ces masculinistes, des hommes aux profils très différents : certains frustrés et renfermés, et d’autres plus virilistes, persuadés d’être supérieurs aux femmes. Des hommes parfois prêts à légitimer le viol, comme le Britannique Andrew Tate, mais aussi des jeunes isolés, appartenant à la communauté des Incels, pour Involuntary celibate. Ces célibataires involontaires sont des hommes obsédés à l’idée de punir les femmes qu’ils tiennent responsables de leur misère sexuelle. Ils sont considérés comme une menace terroriste par le département de la Sécurité intérieure des États-Unis.

Fausses informations, propagande, raids numériques… Le harcèlement en ligne orchestré par ces hommes n’a qu’un but : faire taire les femmes. À l’occasion du procès de Johnny Depp face à Amber Heard, comment les masculinistes sont-ils parvenus à imposer leur récit dans l’opinion publique ? Comment ont-ils pu bousculer le mouvement MeToo et conforter une violence systémique contre les femmes ?"

Affaire Johnny Depp / Amber Heard - La justice à l’épreuve des réseaux sociaux : document puis plateau ce dimanche sur France 5.

Intervenants :

  • Nadia Daam, journaliste
  • Eric Fassin, sociologue
  • Marie Peltier, historienne, spécialiste du complotisme
  • Stéphanie Lamy, chercheuse, spécialiste des stratégies de désinformation
  • Geneviève Fraisse, philosophe de la pensée féministe
  • Constance Vilanova, journaliste
  • Christie D’Zurilla, journaliste au Los Angeles Time
  • Lisa Bloom, avocate, spécialiste des violences conjugales et sexuelles
  • Madeline Peltz, chercheuse, spécialiste de l’extrême droite, Media Matters
  • Brianna Wu, développeuse de jeux vidéo I
  • mran Ahmed, directeur du Centre de lutte contre la haine numérique (CCDH)
  • Nina Jankowicz, ex-directrice du Conseil de la désinformation à la Maison Blanche
  • Tristan Mendès France, maître de conférence associé, spécialisé dans les cultures numériques
  • David Chavalarias, mathématicien, spécialiste de l’influence des réseaux sociaux
  • Valérie Rey-Robert, autrice
  • Rose Lamy, autrice
  • Thibault Grison, chercheur en sciences de l’information et de la communication
  • Denis Rossano, journaliste spécialiste d’Hollywood
  • Pauline Ferrari, journaliste
  • Noëmie Leclercq, journaliste

Crédit illustrations © Together Média

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A
Désolée de vous dire que votre documentaire est un tissus d'inepties. Dés les premières images vous mélangez tout. que vient faire Andrew Tate dans votre narration? de même que tous les you-tubeurs dont vous montrer les images ne sont pas du tout masculinistes, et pour votre information leurs abonnés le savent très bien. Pour commencer AH a eu toute l'amérique derriere elle au début de cette histoire. tout le monde voulait la croire. C'est jD qui a été ostracisé tout comme Weinstein. C'est seulement lorsque les audios ont été publié que les gens ont commencé a douter. le vent a tourné et pour cause: Cette femme a menti. Il suffit de regarder le procès sur les chaines officielles "court.TV" ou "law and crime" et suivre les auditions comme le public dans la salle. Même la police assermentée a démentie les propos d'AH. Rien de ce qu'elle a dit dans ce procès ne tient la route. Cette femme a menti sous serment et a été confondu.<br /> Je ne suis pas les réseaux sociaux et je me suis fait cette opinion en suivant le procès. Je pense avoir suffisamment de discernement pour comprendre ce que d'ailleurs tout le monde a compris sauf vous.<br /> Pour finir je vous dirais ceci: Il ne faut pas se tromper de guerre: C'est la violence qu'il faut combattre pas les hommes ou les femmes. <br /> AH s'est discréditée toute seule. L'acharnement qui a suivi est lamentable mais ca ne change pas les faits. <br /> <br /> Décéption de voir un documenteur su la 5e :((
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M
OH! là, là... quand j'ai vu le titre du documentaire qui va être présenté dimanche soir, j'ose dire que je me suis dit que Johnny Depp avait le malheur d'être l'homme dans cette affaire. <br /> <br /> A croire que les hommes battus, plus rares, ne semblent pas être crédibles par définition, par principe, et même si la Justice a bien fait son travail. <br /> <br /> "Vas-y, dis-leur Johnny que je te maltraite, personne ne te croira ", voilà un des propos (enregistrés) de A . Heard, propos qui en dit long.. <br /> <br /> Il s'avère que je connais le domaine de la violence conjugale, et de formation juridique, je suis passionnée par ce domaine. Alors, SANS m'occuper des réseaux sociaux, j'ai suivi TOUT le procès, ... un procès équitable. <br /> <br /> J'ai été impressionnée par la rigueur de la juge Azcarate qui a instruit l'affaire et mené les débats dans les règles de l'art, remettant chacun à sa place quand il le fallait. Une rigueur intellectuelle remarquable. <br /> <br /> Tout a été re-situé dans son contexte, épluché, pendant 6 semaines, durant lesquelles les accusations de violences physiques dont arguait Amber Heard contre J. Depp , confrontées à la réalité, s'écroulaient au fur et à mesure. <br /> <br /> "Pire", si je puis dire, ses plans manipulatoires, ses mensonges, son agressivité ressortaient encore plus vivement face à une avocate précise, d'une logique imparable, face à la chronologie "illogique" de faits invoqués, à la démonstration de photos arrangées, de maquillages de blessures. <br /> <br /> Je parle bien de violences "PHYSIQUES", car elle n'a jamais parlé de violences verbales à son encontre, même si J. Depp n'a pas toujours dans la dentelle au niveau du langage, s'étant rendu à l'évidence qu'elle le manipulait, et qu'il n'en pouvait plus de subir ses assauts violents (doigt sectionné par un jet de bouteille), ses crises. Il n'a jamais nié ses addictions (une précision : elle consommait aussi..)<br /> <br /> Et Il faut rappeler que tout cet étalage avec le procès voulu public par Johnny Depp pour que le jugement ne soit pas sujet à caution a démarré à cause de cette fameuse trahison de A. Heard qui écrivit dans le Washington Post en décembre 2018 en faisant référence aux violences conjugales ... alors, qu' ils avaient réussi en 2016 à partir la tête haute. <br /> <br /> A. Heard avait obtenu 7 millions de dollars dans le cadre da la procédure de divorce de 2016 et grand renfort de medias a déclaré qu'elle les avait reversés à 2 institutions d'intérêt général. <br /> Mais cela s'est avéré totalement faux et confirmé lors du procès. Face à la vérité, elle a mentionné qu'elle en avait eu l'intention de faire ces dons . Disons que ce n'est pas un mensonge de sa part, seulement une imprécision de langage... <br /> <br /> <br /> Alors, je vous avoue, à la lecture de cette présentation de l'émission, que je ne comprends pas du tout comment on peut dire d'emblée, avant même d'en débattre, que les Réseaux sociaux mettent à mal la justice.<br /> <br /> Et vraiment, je serais écoeurée si ce documentaire devait être l'illustration de la "remise en cause de la parole des femmes". sur le fond, et pour les personnes en cause, les proches.<br /> <br /> Si tel devait être le cas, cela veut dire que personne n'a pris le temps pour le documentaire de regarder TOUT le Procès, d'écouter la justice.<br /> <br /> mais, voyons et écoutons ce dimanche 12 février.
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