"Mes chères études" sur Canal+.




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Lu dans La lettre de l'Audiovisuel : Canal+ vient de lancer le projet d’une fiction écrite et réalisée par Emmanuelle Bercot qui abordera le sujet de la prostitution étudiante. 



Le téléfilm  «Mes chères études» sera une adaptation du roman du même nom de Laura D.



Tournage du 15 mai au 25 juin à Paris et Besançon, pour une diffusion prévue l’an prochain sur la chaîne cryptée.



SOURCE LETTRE DE L'AUDIOVISUEL.



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E
Comme j'ai de la haine contre cette fille! Le téléfilm maintenant on aura eu le droit à tout!Genre t'es pas née avec une cuillère en argent et t'es une fille donc tu dois faire la pute! La vérité c'est que des jobs étudiants y'en a, j'en ai fait pleins! Je vais sûrement pas la plaindre! En plus elle essaie de faire croire que c'est une fatalité, c'est une insulte à toutes les filles issues de milieux populaires et qui se bougent le cul!
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B
Travailler chez mac do ça marche aussi, mais c'est vrai qu'on fait plus d'heures
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N
A quand deS comédies pour les tvfilms français sur Canal?
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A
C'est marrant, moi celles que je rencontre le vivent très bien. Toto, si tu veux des tuyaux...
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T
Ben voyons ! On aura le droit encore une fois à tous les poncifs du genre... Allez-y les filles, pourqoui pas vous, c'est fastoche et y'a de la tune à se faire...Sauf que moi, les personnes que j'ai pu rencontrer et qui sont passés par la prostitution en ressortent toutes brisées, vidées, cassées, moralement et physiquement détruites, même les occasionnelles... les "dommages collatéraux" sont régulièrement absents de ces fictions à l'eau de rose
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Le résumé et le mot de l'éditeur au sujet du livre (éditions Max Milo ) :"Je m’appelle Laura, j’ai 19 ans. Je suis étudiante en langues vivantes et je suis obligée de me prostituer pour payer mes études. Je ne suis pas toute seule dans ce cas. Il paraît que 40 000 autres étudiantes font comme moi. Tout s’est enchaîné dans une logique bizarre, sans que je me sois vraiment rendu compte que je tombais. Je ne suis pas née avec une petite cuillère en argent dans la bouche. Je n’ai jamais connu le luxe et l’aisance, mais jusqu’à cette année, je n’ai jamais manqué de rien. Ma soif d’apprendre, mes convictions m’ont toujours fait penser que mes années étudiantes seraient les plus belles, les plus insouciantes. Je n’aurais jamais pensé que ma première année à l’université se transformerait en un véritable cauchemar.
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