Audience : lancement réussi pour la série inédite Inquisitio.

 

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TVNEWS audiencesLa série « Inquisitio » débutée hier soir a permis à France 2 de se placer en tête devant les autres chaînes, en réunissant plus de 4 millions de téléspectateurs en moyenne et 16.7% de part d'audience sur les deux épisodes.

 

Le premier épisode « De viris » a réuni 4.3 millions de téléspectateurs pour 17.2% de PdA. Le deuxième « Docendi et iudicandi » a été suivi par 3.9 millions téléspectateurs pour 16.% de PdA. 

 

Retrouvez les 11, 18 et 25 juillet à 20h35 sur France 2 la suite de cette saga.

 

Episodes à revoir gratuitement en replay.

 

1370. C’est la période de l’Inquisition en France, mais aussi du Grand Schisme d’Occident avec deux papes à la tête de l’Église catholique : Clément VII à Avignon et Urbain VI à Rome. Une situation inédite où chacun lutte pour imposer sa légitimité. Sur fond de guerre papale, deux hommes s’affrontent lorsque la peste surgit en plein hiver. L’un, Barnal, est le Grand Inquisiteur au service du pape d’Avignon, persuadé que ce fléau est une punition divine et qu’il faut avant tout rassurer la population. L’autre, Nicolas, est un médecin idéaliste convaincu que cette maladie peut être combattue et n’a rien de mystique. Aucun des deux n’a pourtant imaginé le terrible complot fomenté par Rome pour en finir avec Clément VII. Inquisitio est un thriller romanesque où les croyances religieuses rivalisent avec les avidités politiques, dans un Moyen-Age où se joue le destin de deux hommes que tout sépare.

 

Réalisé par Nicolas Cuche. Sur une idée originale de Nicolas Cuche et Lionel Pasquier.

Scénario de Véronique Lecharpy, Lionel Pasquier, Nicolas Cuche, Sandro Agenor et Nicolas Takian.

Dialogues de Sandro Agenor et Nicolas Cuche. Musique de Christophe La Pinta.

Produite par Septembre Productions. Avec la participation de France Télévisions.

 

Avec : Vladislav Galard (Barnal), Aurélien Wiik (Samuel de Naples), Annelise Hesme (Madeleine), Hubert Saint-Macary (David de Naples), Olivier Rabourdin (le Recteur de Turennes), Anne Brochet (Catherine de Sienne), Philippe Duclos (le rabbin de Milhaud), Philippe Laudenbach (Arnavi), Quentin Merabet (Silas), Lula Cotton-Frapier (Aurore), Michaël Vander-Meeren (Clément VII) et Yves Jacques (le cardinal de Mirail).

 

Nicolas Cuche : "D’une part, je me vois avant toute chose comme un créateur d’univers visuels. C’est ce que j’aime faire et c’est ce qui m’attire vers la série en tant que forme cinématographique. D’autre part, avant de me lancer dans un projet – en l’occurrence, il s’agissait cette fois de deux ans de ma vie, de quatre mois et demi de tournage –, j’ai besoin d’éprouver un désir extrêmement fort, l’envie folle de voir s’incarner des images qui m’occupent l’esprit, parfois de façon quasiment obsédante. Un film, une série, c’est d’abord un fantasme. Quand on est réalisateur, on sait que beaucoup de choses vont se mettre en travers de ce fantasme. Alors, plus il est puissant, plus on a de chance de mener un projet jusqu’à son terme. Dans le cas d’Inquisitio, il y a donc eu dès le début des images très fortes, un inquisiteur, sa grande silhouette sombre, son visage à demi caché sous un capuchon, une présence inquiétante, etc. C’est toujours un peu mystérieux, la manière dont notre culture, nos lectures, nos souvenirs de cinéma, toutes ces influences dans lesquelles nous baignons depuis l’enfance trouvent leur point d’aboutissement en un endroit particulier. Il faudrait parler dans mon cas d’heroic fantasy, de manga… S’il faut être plus précis, je dirais que l’un des éléments déclencheurs de mon désir a sans doute été la série de romans – peu connue en France – de Valerio Evangelisti, Nicolas Eymerich, inquisiteur. Il faut enfin ajouter une autre envie très excitante : celle de faire un fiction en costumes, ce qui était pour moi l’inconnu. Mais, au fond, on peut dire que je n’avais jamais fait les films que je fais. Avant la série Flics, pour TF1, je n’avais jamais réalisé de scènes avec des armes ; avant David Nolande, pour France 2, je ne m’étais jamais frotté au fantastique, etc. J’aime cette sensation d’être neuf, sans réflexe."

 

Crédit photo © Jacques Morell - France télévisions.

 

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