30 Septembre 2010
Après “Le Roi Soleil” et “Cléopâtre”, Kamel Ouali revisite le mythe du comte DRACULA pour en faire le personnage principal de son nouveau spectacle musical “DRACULA, L’AMOUR PLUS FORT QUE LA MORT”. Le spectacle ne sera donné que dans un an pile à Paris, au Palais des Sports, mais les locations ouvrent ce jeudi
Réduction de 10 euros sur le prix des places achetées avant le 30 octobre 2010.
Prix hors réduction de 10 euros :
69 euros catégorie 1 orchestre.
59 euros catégorie 2 balcon ou orchestre.
49 euros catégorie balcon.
25 euros catégorie balcon.
Carré or (devant scène) : 85 euros !
Produit par Warner Music France, l’album du spectacle musical sera en vente vers mars 2011 et un premier extrait sera envoyé en radio dès le mois prochain.
Pour le rôle de Dracula, c'est le danseur Golan Yosef qui a été choisi (il ne chante pas durant le spectacle). Sur le site officiel du spectacle, on a cette bio : "Né d’une mère hollandaise et d’un père israélien, Golan va parcourir le monde et s’enrichir de multiples influences. Il débute sa carrière à l’Académie Nationale de ballet à Amsterdam d’où il sort diplômé, et rentre au Scapino Ballet. Puis il quitte les Pays-Bas pour l’Espagne où il danse à Barcelone dans la compagnie « Metros» de Ramon Oller. Quelques années plus tard, il rejoindra la France pour intégrer le Ballet National de Marseille et gagnera au même moment le premier prix de danse en solo au Tanz Festival à Stuttgart. Mais Golan ne se contente pas de sa carrière de danseur car il fait ses début au cinéma dans un film de Disney en 2006 « Cheetah Girls 2 », puis joue dans un film espagnol « No me pidas que te bese porque te besaré » d’Albert Espinosa. Depuis 2007, il danse à la Cedar Lake Contemporary Ballet de New York avec laquelle il participe au film de Jorge Nolfi « The adjustment bureau » aux côtés de Matt Damon".
Interrogé par Emmanuel Marolle du Parisien, Kamel Ouali explique ne pas vouloir s’arrêter au monstre sanguinaire. "Ce qui m’intéresse, c’est la dualité du personnage entre le bien et le mal, son côté énigmatique et surtout la sublime histoire d’amour qu’il vit avec Mina. C’est le Dracula de Bram Stoker, celui qui a inspiré le film de Francis Ford Coppola, qui m’intéresse". Par ailleurs, le chorégraphe et metteur en scène annone que les danseurs porteront des capteurs qui leur permettront d’être intégrés à des images projetées sur un écran. "En mettant des lunettes spéciales, les spectateurs seront plongés dans des effets en relief et ne feront plus la différence entre le réel et le virtu".
Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
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