Vous retrouverez Harry Roselmack en Une du magazine TV Grandes chaînes dans le numéro en vente lundi 9 novembre. Le journaliste confirme qu'il a bien vécu "en immersion" dans
une cité pour l'émission diffusée le 24 novembre sur TF1. Un mois, du dimanche au mercredi, dans un appartement du quartier de la ZAC à Villiers le Bel. Avec un réalisateur, un preneur de son
et un chef éclairagiste. "Les habitants nous ont vus du matin au soir. On allait même à la supérette. Notre présence a permis de faire accepter l'émission"
Si des gens se sont confiés facilement, ayant le sentiment de le connaître parce qu'ils le voient à l'écran, il y a eu beaucoup de réticences. Les médias, explique Harry Roselmack, sont parfois
perçus comme des menaces. "Trop de reportages trompeurs ont été filmés en banlieue". Son reproche ? Que certains ne s'y précipitent qu'en cas de problèmes, d'où forcément une image
négative.
Le concept de l'émission (format britannique à l'origine) est de découvrir de l'intérieur un univers particulier, pour rappel. Selon TV Grandes chaînes, le réalisateur - Gaël
Leiblang, qui a préparé l'émission pendant deux mois - a proposé à une fmaille qui s'absentait de son appartement de lui sous-louer. Une fois sur les lieux, le journaliste est parti à
la rencontre des habitants, des commerçants, des policiers. Selon lui, ce rendez-vous tient du documentaire et on y voit parler des gens qui n'ont jamais la parole. Il s'est engagé auprès d'eux
pour revenir après la diffusion.
Article complet à découvrir dès lundi pages 10 à 12 dans TV Grandes Chaînes n°147.