9 Février 2012
C’est l’histoire de Jacky, le patron du
Kaboul Kitchen, et de sa fille Sophie, fraîchement arrivée en Afghanistan. C’est aussi l’histoire des « expats’ » qui travaillent à la reconstruction d’un pays au bord du chaos, en 2005… Leur
distraction : l’unique restaurant occidental du coin : Le Kaboul Kitchen. Elle est venue pour faire de l’humanitaire. Il est resté pour faire du fric.
La comédie française Kaboul Kitchen est diffusée sur Canal+ dès le 13 février 2012, et a doublement été récompensée au FIPA, festival international de programmes de télévision : Prix du meilleur scénario dans la catégorie séries.
Et prix de la meilleure série : FIPA d'or.
Pour promouvoir cette ficiton, cette vidéo parodique qui circule depuis le début du mois, "Le placard à Kaboul" :
Réalisateurs : Jean-Patrick Benes, Allan Mauduit et Frédéric Berthe. Scénaristes : Jean-Patrick Benes, Allan Mauduit, Marc Victor, Gabor Rassov, Nathalie Saugeon, Jean-Paul Raymond et Vincent Weill. Interprètes : Gilbert Melki, Stéphanie Pasterkamp, Benjamin Bellecour, Alexis Michalik, Simon Abkarian, Brahim Bihi et Caroline Bal.
Le diffuseur présente ainsi cette fiction : "Le Kaboul Kitchen est une bulle occidentale sécurisée où l'alcool est toléré, où l'on mange mal et cher, mais français, où il y a une piscine avec des femmes en maillot de bain et où l'on est prié de déposer son arme au vestiaire. Après la prétendue victoire américaine sur les talibans, fin 2001, des milliers d'étrangers débarquent à Kaboul pour reconstruire le pays. Cette foule hétéroclite, souvent jeune et composée de célibataires, se retrouve en mal de loisirs les soirs de la semaine. Humanitaires, militaires, consultants, journalistes, espions, mercenaires et opportunistes de tout poil viennent se détendre, s'abreuver et draguer au Kaboul Kitchen, alors que les premières élections libres et démocratiques s'organisent dans le pays. Jacky règne sur tout ce petit monde. Après vingt ans passés à arpenter le globe pour des causes plus ou moins nobles, il n'a qu'un objectif : faire du fric à Kaboul. Mais si les dollars, effectivement, rentrent dans son tiroircaisse, beaucoup en ressortent pour garder son restaurant ouvert. On suivra donc ses galères de restaurateur tout au long de la saison, entre ses fournisseurs d'alcool mafieux, les autorités corrompues, son voisin fondamentaliste qui a une vue directe sur les bikinis et la piscine, et un chef de guerre narcotrafiquant qui se prend d'amitié pour lui. Et quand sa fille, Sophie, dont il ne s'est jamais occupé, débarque à Kaboul pour y faire de l'humanitaire, son niveau d'emmerdements monte d'un cran... ".
Crédit photo © Xavier Lahache - C+.
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