30 Janvier 2023
Les téléspectateurs de M6 découvriront ce lundi soir les premiers portraits de L'amour est dans le pré saison 18. Karine Le Marchand s'entretiendra avec une partie des 14 participants. Parmi eux, 11 hommes.
Baptiste, 30 ans (PACA). Ancien étudiant en mécanique et en plomberie, ce charmant trentenaire à l’accent chantant a repris l’exploitation de son grand-père il y a 8 ans. Il travaille aujourd’hui en GAEC avec son père, ancien maçon. Ensemble, le duo élève un peu plus de 200 brebis “de Mouréous” et cultive de l’orge, de la sauge et de la lavande, vendue en coopératives pour les commercialiser en huiles essentielles. Jadis “mari parfait et papa formidable”, Baptiste a pourtant dû renoncer à son rêve de famille il y a un an et demi, suite au départ de son ex-compagne. Un épisode qui a totalement chamboulé sa vie. Après une période noire au cours de laquelle il a perdu 13 kilos en 3 semaines, Baptiste a remonté la pente grâce au soutien indéfectible de sa famille et de ses amis. Une longue remise en question l’a alors poussé à redéfinir ses priorités. Depuis, notre trentenaire s’est séparé de la moitié de son troupeau et n’aspire qu’à une chose : passer un maximum de temps avec sa fille de 3 ans Léontine. Mais il n’en oublie pas pour autant sa vie sentimentale. Déterminé, gentil, équilibré et très attaché aux valeurs familiales, Baptiste rêve toujours de fonder une grande et belle famille. Avec l’aide de son père, il construit actuellement une spacieuse maison dans laquelle il souhaite emménager d’ici la fin de l’année. Bien décidé à tout mettre en œuvre pour trouver l’amour, il s’est aussi lui-même inscrit à l’émission. Baptiste recherche une femme entre 28 et 35 ans, pas “chichi pompoms”, partageant ses valeurs pour s’épanouir à la campagne et s’intégrer à son groupe d’amis et sa famille. Point important, Baptiste ne conçoit pas d’éloigner un enfant de son père, à moins qu’elle n’habite dans la région ou que le papa ne soit plus du tout présent. Il ne souhaitera donc pas rencontrer des femmes ayant déjà des enfants.
Charles, 43 ans (Pays-de-la-Loire), est un exemple admirable de résilience. En 1995, alors qu’il n’a que 15 ans, une partie de sa famille se retrouve prise dans un terrible accident de la route. Charles et deux de ses frères et sœurs sont envoyés aux urgences. Sa mère, elle, décède sur le coup. Encore profondément marqué par ce drame, Charles n’a d’autre choix d’arrêter ses études, un an plus tard, pour la remplacer sur l’exploitation. Une vie d’isolement et de sacrifices commence. Elle durera jusqu’à ses 25 ans... Marqué par une première partie de vie chaotique, Charles ne perd pour autant pas la force de vivre. À 27 ans il rencontre sa première compagne, fille d’un voisin agriculteur, et entame une relation de 10 ans qui lui donnera Théo et Hugo, 9 et 4 ans. Puis, au départ à la retraite de son père, il décide de s’associer à son frère Cédric qui le rejoint sur l’exploitation. Père aimant, Charles fait son possible pour offrir tout ce qu’il n’a jamais eu à ses petits monstres. Et quand il n’est pas avec eux, il s’occupe l’esprit comme il peut grâce à la natation et le rugby. Célibataire depuis sa séparation en 2018, Charles est resté en bons termes avec son ex-compagne. De 10 ans son ainé, il sentait que la différence d’âge finirait par les séparer. Il rêve aujourd’hui d’une relation fusionnelle et de prendre du temps pour vivre et partir en week-end. Sérieux dans sa démarche, Charles a entrepris une rénovation complète de sa vieille maison d’enfance, afin de faire table rase du passé et poser les fondations d’un nouvel avenir à deux. “Qu’elle soit petite, grande, blonde, brune, mince ou avec des formes je m’en fiche complètement. Du moment qu’elle est douce, gentille et qu’elle m’aime c’est le principal”.
Clément, 26 ans. Un Haut-Savoyard pur souche, sportif, bienveillant, séduisant, mais trop timide pour faire le premier pas. “Désespérés”, ses proches s’y sont tous mis pour l’inscrire à l’émission ! Éleveur d’une quarantaine de vaches laitières, il a rejoint le GAEC familial il y a 5 ans et travaille quotidiennement avec son père, son oncle et même son grand-père, qui aime prêter main forte de temps en temps. Une véritable affaire de famille. Élevé dans la région, Clément est très attaché à ses racines et ne se verrait bouger pour rien au monde. Très sportif, il pratique le triathlon et sillonne les sentiers environnants à vélo ou en courant durant ses entrainements. Jusqu’à six par semaine ! Son mode de vie : une routine épanouissante et des petites habitudes qui le rassurent au quotidien. Beau garçon, sociable, soigné, souriant, gentil et simple, Clément a beaucoup d’atouts pour plaire à une femme. Pourtant, à 26 ans, il n’a tout simplement jamais été en couple. Une situation “désespérante” qui a poussé ses proches à agir. Clément a une peur viscérale du rejet qui l’a toujours empêché d’aborder les femmes. Une solitude devenue pesante, que les blagues de façade ne parviennent plus à dissimuler. Seul célibataire de sa famille et de sa bande d’amis, il est d’ailleurs récemment retourné vivre chez ses parents, après deux ans passés à rénover sa maison., tant il souffr de vivre seul. Honnête, sincère et très sérieux malgré son jeune âge, Clément a un désir profond de s’engager et de construire une famille. Malgré son inexpérience, il ne se voit absolument pas collectionner les conquêtes pour rattraper le temps perdu. Isolé dans une région où il connait tout le monde, Clément espère grâce à l’émission rencontrer une femme simple et bienveillante pour l’aider à prendre confiance et réaliser ses rêves de vie à deux. Il est plus attaché au feeling qu’à un physique, n’attend pas d’elle qu’elle soit aussi sportive que lui et aimerait qu’elle soit indépendante “pour avoir des choses à se raconter le soir”.
David, 42 ans (Bourgogne - Franche-Comté). Il est le troisième d’une famille de cinq enfants et est installé en GAEC depuis 2005 avec deux de ses frères. Ils élèvent ensemble un impressionnant cheptel de 450 vaches réparties sur 400 hectares, et cultivent parallèlement du maïs, du blé, de l’orge, du soja et du chanvre. Organisée et soudée, la fratrie a mis en place un planning de congés qui leur permet de s’octroyer des vacances. Une denrée rare dans la profession. Dernier célibataire de la famille, David se qualifie lui-même de “vilain petit canard”. Une situation qui le fait profondément souffrir. À 42 ans, il n’a connu qu’une petite amourette il y a 6 ans, interrompue après quelques mois faute de véritables points communs. Notre éleveur n’a donc pas une grande expérience des relations amoureuses et se considère comme ayant pratiquement toujours été seul. Généreux, joyeux, positif et surtout “imbattable aux blind tests sur les années 80”, David a pourtant de l’amour à revendre et ne manque pas d’humour. Son temps libre, c’est avec sa famille mais aussi ses nombreux copains qu’il le passe, entre grandes tablées et sorties badminton du jeudi soir. David a un manque cruel de confiance en lui qui l’empêche de faire le premier pas auprès des femmes qui l’intéressent. Désespéré de trouver un jour une compagne, il a plus que jamais besoin de l’émission pour le sortir de cette mauvaise passe. Il recherche une femme simple comme lui avec de la répartie, pas trop grande (il mesure 1m65) avec qui il pourra blaguer, faire “la java” et sortir de son petit “train-train”. Aussi, il a très envie d’avoir un enfant et de construire un foyer dans sa jolie maison dont il prend soin en vrai petit homme d’intérieur.
Jean-Paul, 62 ans, un moulin à parole capable de vous raconter une histoire farfelue à la seconde. Issu d’une famille d’agriculteurs sur trois générations, il est installé depuis 1985 et cultive tout seul 70 hectares de blé, de colza et de tournesol. Il a un fils de 36 ans, Olivier, et deux petits-fils, “les trois plus belles réussites de sa vie”. Avec son caractère sociable et sa joie de vivre, Jean-Paul est de ceux qui n’auraient généralement pas trop de difficultés pour faire des rencontres. Toutefois, son histoire et sa grande dévotion pour sa famille, l’ont privé d’un parcours amoureux plus heureux. Jean-Paul a vu sa vie prendre un étrange tournant dès son premier cri, lorsque sa mère Paulette, est hospitalisée suite à de sérieuses complications. Confié à sa tante paternelle, qu’il appelle encore “ma maman blonde”, il est alors séparé de sa “maman brune” pendant les cinq premières années de sa vie et ne la voit qu’occasionnellement à travers les vitres d’une chambre d’hôpital. Il se sentira redevable toute sa vie de l’épreuve vécue par sa maman. Divorcé il y a 35 ans, Jean-Paul a du coup totalement mis sa vie sentimentale de côté pour rendre à ses parents “ce qu’il leur avait pris”. Il a épaulé son père à la ferme jusqu’à son décès en 2018, puis s’est occupé de sa mère jusqu’à son dernier souffle au mois de mars dernier. Blagueur, exubérant, très sociable mais aussi un brin têtu et râleur, notre fringant sexagénaire recherche une femme pleine de vie et de caractère, avec de l’humour et prête comme lui à s’enflammer. Et parce qu’il est aussi extrêmement généreux, il nous livre même le petit truc en plus pour le faire chavirer : le galbe de la jambe !
Joris, 34 ans (Nouvelle Aquitaine). Installé en GAEC avec son père et son frère, il dirige une impressionnante exploitation de 120 hectares d’arbres fruitiers et de légumes en tous genres. Et durant son temps libre, il troque depuis 15 ans la cote pour l’uniforme de sapeur- pompier volontaire. Complexé par ses kilos “en trop” et terriblement timide, il n’a pas une grande expérience des relations amoureuses. Et après toutes ces années à éteindre des incendies, il aimerait enfin voir s’allumer les feux de l’amour. À 34 ans, Joris n’a connu qu’une histoire significative qui remonte à 12 ans. Depuis, c’est le néant. Bien que très apprécié par la gent féminine qui loue sa gentillesse et son oreille attentive, notre maraîcher n’arrive plus à sortir du rôle de “bon copain”. Une situation dont il souffre au quotidien. Joris voudrait une femme nature, entreprenante, voulant des enfants et avec suffisamment de caractère pour le sortir de son train-train. Physiquement, il n’a aucun critère. En revanche, ne sachant pas comment se lancer sur le terrain de la séduction, il aura absolument besoin qu’elle fasse le premier pas pour le mettre en confiance.
Julien, 42 ans (Bourgogne - Franche-Comté). Ingénieur agronome de formation, il n’a embrassé la vie d’agriculteur qu’en 2017. Un rêve rendu possible grâce à l’amour puisque c’est avec son ex-conjoint qu’il reprend l’exploitation de ses beaux-parents. Aujourd’hui séparé depuis un an et demi, Julien a racheté les parts de ce dernier d’un commun accord. Il est à la tête d’un cheptel de 87 bêtes dont 50 vaches laitières. Sans jamais oublier d’être élégant en toutes circonstances et même sous sa côte, il a deux dressings, un pour la ville et un pour les champs et pas moins de 120 paires de chaussures ! Célibataire depuis sa séparation, Julien souffre beaucoup de sa solitude et en parle avec émotion. Déçu des sites de rencontres et des relations sans lendemain, notre quadragénaire est terrifié à l’idée de finir seul et s’inquiète de ne pas réussir à être important pour quelqu’un. Julien recherche un homme “dans son âge”, pour construire quelque chose de sérieux et de durable. Il faudra qu’il soit sociable car il aime beaucoup recevoir, dynamique pour suivre la cadence infernale du bonhomme mais aussi qu’il ait un côté calme et rassurant pour le canaliser. Point essentiel, il faudra aussi que sa moitié soit indépendante et ait son propre travail.
Olivier, 56 ans (nouvelle Aquitaine). Plutôt bonnet d’âne que bon élève et gaucher contrarié, Olivier rejoint vite son père sur l’exploitation. S’il reconnait que son père était un excellent agriculteur, Olivier a néanmoins souffert de sa dureté et a eu le sentiment que tout ce qu’il faisait n’était jamais assez. Une longue période de sa vie qui a profondément entamé son assurance. Olivier a pendant des années pensé ne pas être à la hauteur. Mais soutenu par sa sœur et son frère, il n’a pour autant jamais baissé les bras. Arrivé à la trentaine, notre éleveur d’une cinquantaine de moutons et de vaches a décidé de prendre son destin en mains. Il a suivi des séances d’orthophonie pour résoudre ses difficultés avec l’orthographe et a voyagé pour stimuler sa curiosité. Puis la retraite de son père en 2009 fut synonyme de renaissance professionnelle mais il lui manque toujours quelque chose dans sa vie. D’un romantisme sans pareil, Olivier rêve de mariage et du grand amour. Il a même déjà repéré l’endroit où il ferait sa demande ! Il recherche une femme douce, gentille et tendre qui, comme lui, aura beaucoup d’amour à revendre. Parfois coquet, il aime s’endimancher et parcourir les bals en costume cravate. Il aimerait donc une femme qui sache aussi être féminine pour l’y accompagner.
Patrice, 39 ans (Normandie). Fils d’agriculteurs, ce Normand pure souche a repris l’exploitation de vaches laitières de ses parents en 2009. Un élevage qu’il a transformé en vaches allaitantes pour se faciliter la vie et surtout se dégager du temps. Un ajustement également nécessaire en raison d’un handicap moteur - une hémiplégie de naissance - qui impacte sa main et sa jambe droite. Aujourd’hui, il est à la tête d’un troupeau de 45 mères Limousines et cultive en parallèle de l’orge, du colza, du lin et des betteraves. Patrice a eu une enfance qu’il qualifie de solitaire, en raison notamment de sa différence. Ses parents, très pris par la ferme, ont confié une grande partie de son éducation à sa grand-mère. Quant à l’école, il avait généralement peu de copains et passait une grande partie de son temps à l’écart. Pourtant, notre éleveur ne manque ni d’humour ni de répartie ! S’il dit lui-même qu’il va “un peu moins vite que les autres”, Patrice est vif, a beaucoup de second degré et des yeux taquins qui le rendent éminemment sympathique. Parfaitement autonome, il effectue une grande partie de ses tâches professionnelles seul et gère lui-même sa maison dont il prend soin malgré une décoration dans son jus. Il cultive également un joli jardin potager. Le plus gros handicap de Patrice, finalement, c’est sa vie sentimentale. Seul depuis toujours, Patrice n’a jamais connu l’amour, à l’exception d’une courte idylle à la suite d’une petite annonce dans le journal. Il manque cruellement d’affection et ne demande qu’à passer des moments tendres à deux. Il recherche une compagne joyeuse, douce, sincère et patiente, pour découvrir ensemble les joies de la vie de couple. Il rêve également de pouvoir fonder une famille.
Roméo, 46 ans (Auvergne - Rhône-Alpes). Le 18 mai 2014 suite à un accident, son pronostic vital est engagé. Il mettra plus de 7 mois à réapprendre à marcher, parler ou écrire. Fils unique d’une famille d’agriculteurs sur 8 générations, Roméo était autrefois éleveur de vaches allaitantes avec son père. Le duo, très soudé, possédait près de 95 mères et deux hectares de vignes. Mais depuis son accident et le décès de ce dernier en 2019, il a depuis fait évoluer son travail. Il produit et vend aujourd’hui des bottes de foin et ne possède plus que quelques animaux en pension. En dehors d’une relation de 9 ans qui ne l’a pas laissé indemne, il a pratiquement toujours été seul et n’a plus eu de compagne depuis son accident. Profondément gentil, épicurien, sociable et loquace pour ne pas dire bavard, Roméo souffre beaucoup de sa solitude. Après des expériences infructueuses sur les sites de rencontres, on le sent très éprouvé par sa situation qui l’empêche de profiter de la vie comme il le souhaiterait. Roméo recherche une femme solaire, pleine de vitalité et de charme avec qui partager son quotidien passionné et heureux. Conscient du potentiel que représente son exploitation, il rêve aussi de transformer une partie de sa ferme en chambres d’hôtes ou en ferme- auberge. Il n’a pas de critères physiques préconçus car “la beauté ne se mange pas en salade”, a conscience qu’il a peut-être laissé passer sa chance pour avoir ses propres enfants mais accueillerait ceux de sa chère et tendre avec bonheur. Il a beaucoup d’amour et de place à donner à une femme. Un vrai nounours.
Stéphane, 49 ans (PACA). Ouvert depuis 2018, son parc animalier sert der efuge pour tous les animaux malmenés de la région et reçoit près de 15000 visiteurs par an. Tous apprécient se promener d’enclos en enclos et découvrir les spectacles équestres qu’il donne occasionnellement. Fils de carreleur, Stéphane n’a pourtant pas toujours baigné dans cet univers enchanteur. Il a travaillé près de 25 ans dans l’entreprise familiale et ne s’est lancé dans cette nouvelle carrière qu’à la retraite de Christian, son père il y a une petite dizaine d’années. Il vend alors la société et monte ce vaste projet, avec l’aide de son ex-compagne, mère de sa fille de 10 ans. Stéphane est un vrai fou d’animaux, passionné à l’excès par son nouveau métier. D’ailleurs même quand il part en vacances, c’est toujours pour aller découvrir un parc et rester au contact des animaux. Une passion dévorante qui fait sa force mais lui a aussi en partie coûté son couple. Célibataire depuis 3 ans, Stéphane a depuis entrepris une remise en question et admet commencer à souffrir de la solitude. Il recherche une compagne avec du caractère, mais aussi dynamique, tendre, joviale et avec la même passion que lui pour avancer dans la même direction. Il a conscience que son travail a beaucoup empiété sur sa vie privée et pense être prêt à lâcher du lest pour se donner la chance d’une vie à deux. Il a un farouche désir de partage, de tendresse et a beaucoup d’amour à revendre.
Crédit photos © Cécile Rogue
Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
Voir le profil de leblogtvnews.com sur le portail Overblog