Europe 1 consacre un podcast à Eddy Mitchell (trois épisodes).

Au cours des 3 épisodes et à travers les archives de la station Europe 1, Joe Hume raconte les grandes étapes de la vie du « Schmoll », Eddy Mitchell. Disponible dès aujourd'hui.

Épisode 1 : « De Claude Moine à Eddy Mitchell ». Avant de devenir Eddy Mitchell, il y avait Claude Moine, le gamin de Belleville, fils d’un réparateur de bus et d’une employée de banque. Le jeune Claude découvre le rock’n’roll comme tout le monde au milieu des années 50, grâce à Bill Haley, Gene Vincent et Elvis Presley. Celui qui se rêvait dessinateur de bandes dessinées troque finalement ses crayons contre une guitare et fonde le tout premier groupe de rock français : Les Chaussettes Noires. De son audition chez Barclay à la gloire fulgurante de ce jeune homme à peine majeur, ce premier épisode revient sur la naissance de l’une des légendes de la chanson française.

Épisode 2 : « Des Chaussettes Noires aux Vieilles Canailles ». Alors que Les Chaussettes Noires sont au sommet de leur gloire, Eddy Mitchell veut naviguer en solo. Il veut des vrais musiciens, et des textes à lui. À Londres, puis à Nashville, la capitale américaine du rock, il compose sa propre identité musicale entre le rock, le blues et la country. De Toujours un coin qui me rappelle à Sur la route de Memphis en passant par Couleur menthe à l’eau, ce crooner à la française s’impose comme un monument de la musique. Mais derrière les innombrables tubes et succès de sa discographie, Eddy Mitchell reste avant tout un homme sincère qui s’est attaché toute sa vie à ne faire qu’une seule chose : ce qu’il aime.

Épisode 3 : « La dernière séance ». Avant d’être un chanteur, Eddy Mitchell était un spectateur. Si son père lui a transmis sa passion du grand écran, c’est devenu une véritable constante de vie. De sa chanson La dernière séance à l’émission télévisée du même nom, Eddy Mitchell rend hommage à tous ces films américains qui ont façonné son imaginaire. Quand il passe devant la caméra, il devient un nouvel homme, aussi bien dans Coup de torchon que dans Le bonheur est dans le pré, jusqu’à obtenir le César du meilleur second rôle. Ce troisième épisode explore le plus cinéphile des chanteurs français.

Écriture et production : Julien Pichené et Clara Leger. Réalisation et direction artistique : Julien Tharaud. Documentation : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova et Antoine Reclus.