Avec Alexandra Vandernoot (Inès Garcia), Armelle Deutsch (Marion Lecoq), Jean-Yves Bertheloot (François Pernelle), Alika Del Sol (Samira Allem), Paul Secchi (Clément), Aurélien Recoing (Rossi),
Micky Sebastian (Marthe Pernelle), Thomas Chabrol (Gérard Pernelle), Nicolas Gob (Jérôme Lecoq), Alexandre Zambeaux (Fred Louvel), Micky El Mazroui (Kamel Allem), Rabah Loucif (Yussuf Allem), Erick
Deshors (Wilmer).
La plus grosse usine chimique d'une petite ville du midi, emploie 600 personnes. Elle fabrique et entrepose des produits dangereux.
Le 17 janvier, l'entrepôt n° 8 est soufflé par une explosion alors qu'une classe de CM2 visitait l'usine. L'intervention courageuse d'une jeune femme et l'arrivée rapide des pompiers permettent de
sauver plusieurs enfants. Malgré cela, cinq employés sont tués, une trentaine grièvement blessés ainsi qu'une fillette de 10 ans. Une enquête est aussitôt diligentée. En attendant, la presse locale
s'empare de l'affaire et multiplie les hypothèses. A l'intérieur comme à l'extérieur de l'usine, on veut des responsables, une cause unique et simple...
Six personnages, six épisodes et six regards sur une même tragédie : l’explosion d’une importante usine chimique dans une petite ville de province. Accident ? Sabotage ? Qui est responsable ?… Une
enquête est aussitôt diligentée et les suspicions vont bon train… François (Jean-Yves Bertheloot), le directeur de l’usine, et Inès (Alexandra Vandernoot), l’ingénieur chimiste en charge de la
sécurité, sont-ils au-dessus de tout soupçon ? Que cherchent à cacher Virginie (Armelle Deutsch), une jeune employée illettrée, le petit Clément (Paul Secchi) qui visitait l’usine avec sa classe de
CM2 et Samira (Alika Del Sol), son institutrice et fille du contremaître ? L’ombrageux colonel Rossi (Aurélien Recoing), chargé de l’enquête, fait-il preuve d’une totale impartialité
Laurent Carcélès, réalisateur, explique ce qui l'a séduit dans le scénario :"Les multiples possibilités de mise en scène qu’offrait le sujet. Montrer six personnages tous liés par une même
catastrophe, six regards différents, six angles… Seule la télévision peut donner libre cours à six heures de cet exercice ! Les scénaristes donnaient une raison d’être artistique à ce « format » de
diffusion. Quand la productrice Nicole Flipo m’a appelé il y a un an pour que je travaille avec les scénaristes, l’idée m’a tout de suite enthousiasmé. Ici il n’y a plus de « rôle récurrent ».
Chaque personnage principal devient un petit rôle, voire un simple figurant, dans d’autres épisodes… Ondes de choc n’est pas un film catastrophe et n’illustre pas non plus un événement réel. La
catastrophe est une allégorie. "
Ce matin, le Parisien note que cette mini série pourrait bien donner un nouveau souffle à la fiction française Et parle d'un mille-feuille psychologique haletant...
intéressant comme sujet. mais pourquoi 3 épisodes sur deux soirées? franchement ce genre d'expédition en quatrième vitesse me choquera toujours tellement celui ci est ridicule.