Laura D, étudiante et prostituée. Témoignage télévisé pour la sortie du livre.




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A l'occasion de la sortie du livre "Mes chères études. Etudiante, 19 ans, job alimentaire : prostituée", Laura D. interesse les différentes chaînes de télévision.




Ainsi, elle devrait être reçue mardi prochain dans le talk de Marc-Olivier Fogiel ("T'empêches tout le monde de dormir") et l'émission 7 à 8 lui consacre un portrait.




Le sujet de 7 à 8 dimanche sur TF1 :


"
Laura a 19 ans, Elle est jolie, bien élevée, étudiante en langues étrangères appliquées.  Rien ne la différencierait des autres élèves de son campus. Et pourtant...

Depuis plusieurs années, Laura se prostitue pour payer ses études. C'est en cherchant des petits boulots sur Internet que l'idée a germé. Sur certains sites réservés aux étudiants, elle a découvert des annonces particulièrement rémunératrices dans la rubrique "Vénale".

Comme elle, elles seraient des milliers de jeunes filles en France à vendre leurs corps pour boucler leurs fins de mois.

La famille de Laura ignore tout de son comportement. Pour la première fois  la jeune fille a décidé de briser le silence et livre sa confession sur cette vie faite d'argent facile et d'humiliation. 

Elle raconte la première fois, difficile et effrayante. Et cette tentation qui fait que chaque nouvelle facture risque de la faire replonger.
Un portrait de Thierry DEMAIZIERE et Alban TEURLAI."




Le résumé et le mot de l'éditeur au sujet du livre (éditions Max Milo ) :

"Je m’appelle Laura, j’ai 19 ans. Je suis étudiante en langues vivantes et je suis obligée de me prostituer pour payer mes études. Je ne suis pas toute seule dans ce cas. Il paraît que 40 000 autres étudiantes font comme moi. Tout s’est enchaîné dans une logique bizarre, sans que je me sois vraiment rendu compte que je tombais. Je ne suis pas née avec une petite cuillère en argent dans la bouche. Je n’ai jamais connu le luxe et l’aisance, mais jusqu’à cette année, je n’ai jamais manqué de rien. Ma soif d’apprendre, mes convictions m’ont toujours fait penser que mes années étudiantes seraient les plus belles, les plus insouciantes. Je n’aurais jamais pensé que ma première année à l’université se transformerait en un véritable cauchemar.

Un témoignage inédit sur un phénomène contemporain qui ne fait que s’accentuer depuis la généralisation d’Internet et des portables. Avec, en postface, un éclairage sociologique par Eva Clouet, auteur de la première enquête sur La prostitution étudiante à l’heure des nouvelles technologies de communication, qui sort en même temps aux éditions Max Milo."





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C
je le mets là d'autant que je connais bien la miss elisabeth. elle a laissé parler sa sensibilité et son commentaire va dans le bon sens. il serait tant d'arrêter de blamer les gens qui se retrouvent au pied du mur et qui essaient de s'en sortir avec le peu de moyens qu'ils ont si tant est qu'ils ne partent pas avec des "hadicaps". Laura a payé assez cher son choix pour en plus venir lui reprocher en permanence. Elle s'est battue pour s'en sortir...s'il y a quelque chose à retenir c'est ça..........................si vous avez eu entre les mains ce que j'ai laissé au 34 rue de Lannery, vous comprendrez le pourquoi de ce lienManouchianpour un coin de cel étoilé, ca vaut le coup de se battre et de ne jamais renoncer.cordialement.
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P
euh miss elizabeth, ton point de vue se défend mais ça valait pas forcément le coup de s'énerver comme ça pour répondre à des messages postés il y 6 mois....
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E
Je rappelle à certain que cette<br /> jeune fille ne disposait pas de bourse d'études, qui n'est pas<br /> le cas de E. pas exemple "j'ai été boursière<br /> à l'échelon le plus élevé durant toutes<br /> mes études" . Et si, E., cela n'avait pas été<br /> le cas, si tu n'avais pas eu de bourse, comment aurais tu fait? Tu<br /> demanderais à tes parents? Bien sûre que non sinon tu ne<br /> serais pas boursière. Alors tu travailles, tu trouves un job<br /> comme tu l'as déjà fait si bien. Évidement, il<br /> faut que tu paie ton appartement, mais attention E., il faut savoir<br /> que dans ce cas, tu n'as pas d'allocation logement ! Hé oui,<br /> tes parents gagnent le SMIC tous les deux. Bon alors ça veux<br /> dire que tu dois te payer à toi seule ton loyer, et j'espère<br /> pour toi que tu n'habites pas dans un ville où les prix des<br /> loyers et des cautions sont exorbitants et qu'il te faudra un dossier<br /> béton et des gens derrière toi pour se porter garant!<br /> Bien sûre il existe des organismes qui peuvent se porter garant<br /> pour toi, mais...à condition que tu sois boursière, Il<br /> y a aussi à payer la bouffe, la facture d'électricité,<br /> pas d'aide non plus des organismes sociaux, fini tout ça!<br /> "C'était quand même le bon temps quand j'avais les<br /> bourses" te diras tu? Les discours du genre "il y a d'autre<br /> solution que la prostitution" m'ennuient terriblement. Le souci<br /> c'est que ce n'est pas faux, mais c'est à l'état de<br /> créer ses solutions. Imaginez vous deux secondes dans le lit<br /> d'un vieux mec inconnu, imaginez vous devoir vous offrir à<br /> lui, imaginez vous que évidement vous ayez un cœur et un égo<br /> comme tout le monde (les prostitués n'en sont pas démunies),<br /> imaginez ses mains sur votre corps qui n'en veut pas, imaginez vous<br /> fermer les yeux parce que vous ne voulez pas voir son visage...<br /> Pensez vous sincèrement que ce soit facile? Je pense que c'est<br /> l'acte le plus dégradant et le plus difficile qu'une femme<br /> puisse accomplir, c'est un peu comme se tuer soit même. Pour<br /> tout ceux qui se dirait « elle doit se prostituer elle<br /> aussi », je vais les décevoir car ce n'est pas le<br /> cas. Je suis étudiante et heureusement je suis boursière,<br /> je dis heureusement car je ne suis pas à la fac, à la<br /> rentrée j'aurai pas moins de 45 heures de cours par semaine.<br /> Je n'ai pas de famille derrière moi pour m'aider<br /> financièrement mais je travail bien qu'à la rentrée<br /> cela va être difficile avec mon emploi du temps. Ce sujet me<br /> touche profondément, même si je ne suis pas directement<br /> impliquée, je me mets à la « place de »<br /> tout simplement et c'est ce que l'état et la « populasse »<br /> devraient faire eux aussi.
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B
le recruteur sera aussi le con de service
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On ne me fera pas croire qu'en arriver là est une nécessité !De mon temps, faute de moyens suffisants on prenait un job à plein temps et on suivait ses études en cours du soir.Que fera cette personne le jour où elle cherchera enfin un vrai job elle tombera sur un (des) anciens client(s) en arrivant un rendez-vous pour un entretien de recrutement ?  
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M
Ca peut faire reflechir sur le problème des etudiants moi meme je travaille le week end et meme la semaine parce que c'est dur quand on est étudiant seul.C'est un rythme super chaud a tenir et pénible mais au moins je continue a me regarder dans la glace car je me dégrade pas et fait un travail honnète.Plus serieusement c'est le systeme des bourses qui est a revoir moi qui travaille a coté de mes études et qui n'est aucune aide des parents je n'en ai pas car on me l'accepte pas alors que certain en ont qu'ils meritent pas LAMENTABLE.
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E
Pfff, encore un beau sujet racoleur à audience...  Entièrement d'accord avec les com. précédents. Il y a tellement d'autre façon de gagner de l'argent quand on est étudiant. J'en sais quelques chose........
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E
Comme d'autres cette nana me m'attriste pas du tout et ce n'est pas du tout une victime pour moi...Moi non plus je ne suis pas née avec une cuillère en argent, j'ai été boursière à l'échelon le plus élevé durant toutes mes études et je faisais de petits jobs à côté : macdo, téléprospectrice, téléenquêtrice, inventoriste, vendangeuse, distributrice de tracts (dont une fois à un péage d'autoroute en novembre, je recommande pas...), animatrice en grande surface... puis on peut aussi taffer pendant les vacances, j'ai une cop qui travaillait que pendant les vacances pour pas gêner ses études, en particulier au rayon poissonnerie d'un hypermarché...alors bien sûr c'est pas super glam mais c'est mieux que prostituée, "job" qui peut tout à fait être évité...Y'a aussi la possibilité de faire caissière ou vendeuse à mi-temps...surtout que langues c'est pas la matière où tu as exactement le plus de cours...Et maintenant dans les plus grandes villes de France y'a aussi la distribution de journaux gratuits...y'a aussi le baby-sitting, les cours de rattrapage aux gamins,serveur... (j'en profite pour donner des idées si des étudiants nous lisent... :) )
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B
a t-on dans ce nombre, les escorts girls, les téléphones roses et autres dérivés du sexe ?
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H
Comme rachida, je pense que cette jeune fille avait simplement trouver la façon facile de faire du fric, et cette situation n'est pas nouvelle, de tout temps, des femmes, des étudiantes, etc, arrondissent leur fin de mois de cette façon. Il suffit d'avoir "ça" dans la tête. Si elle essaie de nous faire "pleurer" sur son sort, elle se trompe lourdement. Je préfère garder ma sympathie à toutes celles qui se sortent des difficultés avec leurs têtes et leurs bras, mais surtout pas leurs fesses.
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R
Franchement y a d'autres façons de se faire de l'argent, qui est né avec une cuillère en argent?? Peu de gens et ils ne se prostituent pas.Pourquoi certaines personnes sautent le pas et les autres pas?
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P
Cause absence modos, je laisse les commentaires en attente de validation jusqu'en début de soirée.A + !Pascal.
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P
Plus répandu ,hélas, qu'on croit oui. Et pas que chez les filles :(
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