1 Octobre 2007
Le "curé des people", le médiatique abbé de la Morandais est interrogé dans le dernier numéro en date de
Voici, par Yann Le Poulichet et Hugues Royer.
Il concède qu'à un moment, les médias l'obsédaient. A une époque, dit-il, il s'inquiétait dès qu'il n'avait pas une émission programmée dans la semaine.
"Aujourd'hui, ce n'est heureusement plus le cas. Mais c'est un lieu où je me sens à l'aise. C'est vrai que j'aime bien ça". De la vanité qu'il dit assumer complètement.
L'abbé dit avoir compris très tôt que la télé était un fantastique outil de communication. Son omniprésence médiatique n'est pas toujours très bien vu par certains au sein de l'Eglise. Par
d'autres, si. Mais..."Certains évêques pensent que la communication, c'est important. Mais quand il faut aller demander pardon à un gamin victime d'un prêtre pédophile ou aller chez
Dechavanne et Fogiel, ils ne le sentent pas trop. Alors, ils sont bien contents que je sois là pour m'y coller".
Si Jésus descendait sur terre, accepterait-il de faire de la télé ? Oui bien sur, répond l'abbé qui ajoute qu'il irait même chez Cauet. Le meilleur moyen pour faire passer son message au plus
grand nombre étant la télé.
Dans l'entretien, l'abbé de la Morandais revient sur sa brouille avec Marc-Olivier Fogiel. Pour une bêtise, selon lui. Il y a un an, il a publié son journal, et a révélé, sans lui vouloir le
moindre mal, un détail sur sa vie privée. Ce que Fogiel a mal vécu ; ce dernier ne lui parle plus depuis .
Actu des médias par 2 passionnés, amateurs. Et tweets perso.
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