1 Février 2012
Très engagé à gauche, le comédien
Philippe Torreton, répondait ce week-end aux questions de Jean-Marc Raffaelli de Nice matin. Un entretien centré sur la politique.
Torreton, qui avait soutenu Ségolène Royal en 2007, s'engagera si on le sollicite, mais il n'ira frapper à aucune porte. Si la gauche l'emporte, il espère un retour à l'humain, "loin des chiffres, des dettes, des calculs didactiques qui phagocytent les enjeux humains (...). La plupart des gens souffrent de déconsidération dans leurs compétences et leurs aspirations. Ils sont en quête d'utilité. Avec ses exigences, ses droits et son savoir-faire, l'ouvrier spécialisé est honni de notre société fondée sur la rentabilité. Elle lui préfère le travailleur sous-qualifié, rendu malléable par des contrats 'timbre poste' y compris dans les services publics"".
Au cours de l'entretien, Sarkozy est plusieurs fois ciblé. Torreton juge qu'avec quelques boss industriels, patrons de presse et autres juges d'instruction dans sa pogne, il n'a pas besoin d'une police parallèle, il a ce qu'il faut. Pour les débats télévisés, c'est lui qui choisit les journalistes, dit Torreton qui se demande si malgré toute sa valeur, il revient à un Michel Denisot d'interroger le Président de la République. "A la place de Jean-Michel Apathie, j'aurais démissionné du Grand journal".
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