Brèves médias et potins people, mercredi 28 juin 2006.

- Mathieu Kassovitz.

Coup de gueule du cinéaste-acteur-producteur hier soir dans "Comme au cinéma" sur France 2. Kassovitz a comparé Sarkozy à Bush et s'est indigné de certaines méthodes.

"Après que les flics soient rentrés dans des églises à coups de bâton pour sortir les gens à coups de matraque, il y a des flics qui rentrent dans les écoles pour chercher des enfants, des petits Noirs, des petits Arabes des petits Turcs et des petits Chinois(...)"

- F 24.

C'est selon le Canard enchaîné l'appellation qui tient la corde pour la future chaîne di'nformations internationale .  Le nom définitif devrait être choisi ce vendredi.

- Christine Ockrent.

Autre info du Canard enchaîné : le patron d'EDF était seul sur le plateau de France Europe express le amrdi 20 juin. Deux parlementaires étaient initialement invités : l'UMP Patricl Ollier et le PS François Brottes. Mais selon l'hebdomadaire satirique, le patron d'EDF a exigé que ces parlementaires soient décommandés. Ce qu'Ockrent a accepté. Lors de la commission des finances du 4 avril dernier, ces parlementaires "avaient osé critiquer la hausse des tarifs de l'électricité"...

- France 3.

A la rentrée, Des chiffres et des lettres vers 18h00, avant Qestions pour un champion.

30 millions d'amis le dimanche après-midi. ( source )

- Claire Chazal.

"Je trouve que c'est scandaleux cette campagne. Je trouve qu'on ne doit pas soupçonner Béatrice de la moindre complaisance parce que c'est une professionnelle, ça fait très longtemps qu'elle fait ça, elle le fait très bien, très sérieusement, et je trouve que c'est une ingérence dans la vie personnelle et la vie privée qui est insupportable", tels sont les propos de Claire Chazal au sujet de Béatrice Shonberg. C'était hier sur Europe 1.

Chazal animera à la rentrée une émission hebdomadaire d'interview, dans la tranche 6 / heures, sur France Culture.

- Mondial et TF1.

Lu hier sur le site du Point :

"Coupe du Monde : TF1 ne rentrera pas dans ses fonds
Le match France-Espagne se négociera à 150 000 euros le spot de 30 secondes sur TF1. Les agences médias estiment que la Une, qui a payé 100 millions d?euros de droits TV, devrait engranger plus de 65 millions de recettes publicitaires nettes si la France est éliminée en 8ème de finale. Un manque à gagner de 35 millions qui sera réduit à 25 millions d?euros si les Bleus vont jusqu'en finale."

- Grève de la faim à France télévisions.

Selon l'AFP, le journaliste Thierry Temime, handicapé et demandeur d'emploi, a cessé de s'alimenter mardi et s'est installé dans le hall de France Télévisions pour obtenir une embauche. Il avait travaillé pour France Télévisions avant d'être victime de son handicap, et souhaiterait obtenir un emploi, dans le cadre du quota réservé aux handicapés, au sein de la nouvelle chaîne française d'information internationale, la CFII.

- Cali.

Le chanteur s'est opposé à l'utilisation de son tube "C'est quand le bonheur" par Fabius, dans ses réunions publiques, soulignant qu'il ne soutenait pas ce dernier pour les Présidentielles.

Cali a souligné qu'il aurait été plus courtois de la aprt du candidat PS de le prévenir avant...

- Championnat d'Histoire.

C'est en 2007 que De Carolis lancera son Concours d'Histoire sur le service public. Un peu à la façon des défunts Dicos d'Or.

- Ushuaïa nature.

L'émission verra son rythme passer de 4 à seulement 3 numéros la saison prochaine.

En revanche, le titre de presse "Ushuaïa magazine" deviendra mensuel et non plus bimestriel.

- People.

Présents hier dans les tribunes lors du  match  Espagne - France : Emmanuelle Béart, Gérard Jugnot, Laurent Baffie, Francis Lalanne (évidemment...), Patrick Bruel et Gérard Darmon.

- Florence Foresti.

Elle fera partie de l'émission hebdomadaire de Ruquier le samedi soir sur France 2.

- Arthur.

On vous donnait l'info avant-hier grâce à un lecteur ayant laissé un commentaire ; VSD la confirme ce jour : Karen Minier  rejoint l'équipe des Enfants de la télé.

- Presse.

Maximal c'est fini. Le mensuel sort une denrière fois cet été, puis the end. En cause, une aggravation des pertes.