Séries, ton classement impitoyable : 15 - WEEDS saison 5.

 

 

 

 

Séries… Ton classement impitoyable ! saison 2009/2010.

Place 16 – WEEDS Saison 5.

Classement 2008 / 2009 : 20ème.

Classement 2007 / 2008 : 24ème.

 

Diffusion aux Etats-Unis sur Showtime le lundi soir à 22h30 aux Etats-Unis (Moyenne saison 5 : 1,05 millions de téléspectateurs, +17% par rapport à la saison 4). Diffusion en France le jeudi soir à 22h30 sur Canal + et sur Virgin 17 le mercredi soir à 22h15.

Créé par Jenji Kohan.

Avec Mary Louise Parker (Nancy), Justin Kirk (Andy), Elizabeth Perkins (Celia), Hunter Parrish (Silas), Alexander Gould (Shane) et Demian Bichir (Esteban).

 

!! Indice Spoiler : 3/5

 

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Weeds est une mauvaise série. C’est d’ailleurs sa plus grande qualité. J’aurais presque pu terminer ma chronique ici tant cela résume exactement mon sentiment à l’égard de la série. Weeds est toujours autant bourrée de défauts, elle est terriblement maladroite dans chacun des thèmes qu’elle aborde et auto-destructrice dans ses personnages et dans ses intrigues. C’est une série sans queue ni tête, un n’importe quoi irrationnel, excessif à en devenir ridicule, elle saute le requin à chaque épisode quitte à devenir encore moins crédible qu’une fan fiction sur Hartley Cœur à Vif écrite par un adolescent de 13 ans refoulant comme il le peut son homosexualité flagrante. Et c’est pour ça que je l’adore.

 

Mais alors qu’est ce qui fait la différence entre une bonne et une mauvaise saison de Weeds ? Concrètement, entre sa saison 3 et sa saison 5 ? Et bien c’est sa maitrise de la saison 5 à la fois méthodique et imperceptible. C’est tout le talent de l’équipe créative de Weeds. Nous faire croire qu’ils avancent à l’aveugle alors qu’ils savent parfaitement où ils vont. Alors bien sûr, on a quelques ratés, quelques exceptions qui confirment la règle, notamment avec le personnage de Célia dont ils ne savent plus que faire depuis la saison 2. Fort heureusement pour elle, pour les scénaristes et pour le bien de l’humanité, Miss Perkins a d’ailleurs décidé de quitter la série.

 

Mais dans l’ensemble, Weeds se tient et principalement grâce à des dialogues divins, fortuitement philosophiques, tantôt drôles, tantôt émouvants mais toujours brillants et qui amènent souvent une réflexion. Non, Weeds n’est pas Mad Men. C’est même tout l’opposé. Mais c’est justement de plus en plus revendiqué. Weeds a trouvé son rythme de croisière et s’assume telle qu’elle est, là où la saison 3 cherchait en permanence un renouveau créatif qu’elle ne trouva jamais. Weeds est donc bel et bien un soap déjanté pour adultes avec des rebondissements over-the-top totalement jouissifs, des situations rocambolesques à n’en plus pouvoir, un surenchérissement à l’infini des situations les plus improbables possibles. Le gentil devient méchant, les alliances se font et se défont, les personnages virent tour à tour psychopathes. Weeds est tout bonnement devenu une tele novela sous ecsta. Et quel bonheur.

 

Résumer une saison d’intrigues de Weeds n’aurait donc pas le moindre intérêt. Vous croirez lire la rubrique ‘Si vous avez manquez le début’ d’un soap opera cubain sur votre Télé 7 Jours. Esteban ne veut pas reconnaitre le bébé de Nancy à cause de ses ambitions politiques et de la ténébreuse Pilar. Andy accepte ainsi de reconnaitre ce bébé sous la surveillance de César et Ignacio, les hommes de main d’Esteban… Non mais sérieusement ! Je ne vous mentais pas ! L’intérêt de Weeds n’est donc pas tant dans ses intrigues, bien que le côté soap ultime me fasse personnellement ressurgir quantité de phéromones masculins, mais plus dans la manière dont tout cela est traitée. Sans parler de parodie de soap, car Weeds n’en ait pas une, on peut dire que la série parvient enfin à maitriser son côté totalement décapant avec une vraie structure et un vrai scénario. On peut clairement dire qu’on a droit à un vrai spin-off dans la série et que celui-ci a conféré une dimension beaucoup plus vivante et survitaminée au show.

 

Toutes les storylines tournant autour de la drogue illustrent parfaitement ce côté soap plus qu’irréaliste souhaité par les scénaristes. Les alliances, toujours plus improbables, changent à chaque épisode. Silas s’allie à Doug, qui lui-même va s’allier à Dean, puis à Célia avant de la trahir avec sa propre fille… Le tout avant que le cercle vicieux ne reparte de plus belle. Une véritable roue de l’infortune machiavélique. Celia en elle-même est un personnage de soap ultra hardcore, plongée à chaque épisode encore plus bas que terre, sans aucune limite à la décence humaine. Son intrigue pseudo-lesbienne avec la blondasse arnaqueuse du make-up était franchement saugrenue mais fun. Voilà encore une phrase qui pourrait définir Weeds. Loin du côté magouille GodFatherienne des deux premières saisons, Weeds assume donc son lifting intégral ne laissant plus que de la place au burlesque et au ridicule le plus total. Comment le pacte a-t-il été scellé entre Dean et Doug ? Et bien ce dernier a du rabattre sa bite dans un tiroir ! C’est aussi cela Weeds.

 

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Si le personnage de Silas a vite montré ses limites à cause de l’interprétation de plus en plus soporifique d’Hunter Parish (avec un nom comme cela, vous me direz…), tout comme celui de Doug, tout bon à être un second rôle insupportable dans Scrubs, deux personnages ont particulièrement marqué la saison. Non, ce n’est pas Nancy qui est paradoxalement indispensable à la série mais qui pourtant, n’y apporte que peu de valeur ajoutée. On a fait le tour de Nancy, si j’ose m’exprimer ainsi, et même si cela fait plaisir de retrouver une Nancy moins Marie-couche-toi-là qu’à l’accoutumée, son côté sous-merde autodestructive et mauvaise mère sont relativement redondants. C’est finalement le personnage qui aura le moins évolué depuis le début de la série, ce qui vous noterez n’est pas forcément un défaut dans Weeds, bien au contraire. Nancy c’est finalement comme votre colonne vertébrale. Vous en avez besoin mais ce n’est pas elle qui vous apporte du plaisir.

 

A ma gauche, nous avons Andy qui se place en quelque sorte comme le label qualité du show. Non seulement il est attachant, siphonné et drôle, mais son côté névrosé garantit une qualité d’écriture et une profonde réflexion philosophique. Alors que les personnages secondaires s’arrachent littéralement les poils pubiens pour savoir qui aura la drogue, Andy est presque devenu un personnage d’une autre série qui aurait son propre spin-off à l’intérieur du show et nous rappelle que Weeds n’est pas seulement une grosse farce. Son histoire avec la sympathiquement oubliable Alanis Morissette était particulièrement attachante.

 

Et à ma droite, et c’est là la plus grande réussite de la saison, nous avons Creepy Shane. Il est le fruit du ratage réussi de Weeds. Le Frankenstein crée par les années d’excès et de n’importe quoi de la série. Comme vous pourrez le voir ci-dessous, sa ressemble avec le sale rejeton de la Malédiction est d’ailleurs frappante. Son évolution de gentil bambin innocent (mais déjà un peu bizarre) en monstre sadomasochiste, dénué de cœur et de morale, de toute notion du bien et du mal est sidérante. Bien sûr, Nancy est la seule et unique fautive. Reine du je-m’en-foutisme, laissant impunément trainer son fils avec un homme de main d’Esteban lui apprenant à frapper les gens ou avec deux junky nymphomanes. On comprend assez tôt qu’un acte terrible finira par arriver quand Shane, après s’etre fait tirer dessus, refuse de prendre des médicaments afin de sentir la douleur. Arrive alors la scène finale de la saison, majestueuse, où Shane tue d’un sang-froid glacial l’ennemi de sa mère devant les yeux interloqués de cette dernière. C’est toute l’ironie de l’histoire, métabolisée par un syndrome portant probablement un nom Tchécoslovaque : malgré son éducation en tout point désastreuse, Shane aime sa mère, il ne peut se séparer d’elle. Nancy, quant à elle, va enfin pouvoir prendre l’ampleur du monstre qu’elle a créé. En espérant que Weeds ne balaye pas l’une des plus prometteuses histoires de sa carrière d’une énième pirouette magique.

 

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Conclusion : Le lifting Agrestic / Del Mar aura été extrêmement laborieux. Partant d’un ratage total nécessitant de multiples reprises chirurgicales, on y sera finalement parvenu. Jenji Kohan avait probablement envie de faire une autre série et de continuer Weeds en même temps. Le résultat est aujourd’hui une série flirtant entre le génie et le ridicule, dramatique et ultra soapesque, bien écrite, drôle et pitoyable. Weeds est tout à la fois, tellement sans limite qu’elle explose la notion de guilty pleasure. Une belle réussite personnifiée par Shane, témoin omniscient de la descente vaudevillesque de la série, qui est devenu un véritable monstre de cruauté. Weeds a tellement cultivé une culture du n’importe quoi qu’elle ne renaitra jamais totalement de ses cendres. Et franchement, c’est pour ça qu’on l’aime.

 

COLE. Twitter : http://twitter.com/Cole4616

(Crédit photos © SHOWTIME /DR. )

 

Depuis lundi : Les chroniques sont avancées au début de matinée pour la parution.  

 

Prochaines chroniques jeudi et vendredi matin. Précédentes chroniques : http://www.leblogtvnews.com/categorie-11513584.html .

 

Participations cette saison, pour épauler Cole, de :

Tao (Critik en Séries)

Lulla (Des News en Séries)

Alain Carrazé (8 Art City)

Pierre Langlais (Tête de séries)

Pierre Serisier (Le Monde des Séries)

Btv27 (Series Live)

Dylanesque (Dylanesque TV)

Et Boodream.

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A
<br /> <br /> Je vous trouve dur dans les commentaires.<br /> <br /> <br /> Malgré une petite baisse de qualité dans la saison 3, j'ai trouvé Weeds brillante. La critique est bien faite, et même si je suis d'accord pour dire que la série est de plus en plus<br /> auto-destructrice, je pense que c'est justement ce qui fait sa force : Elle descend chaque fois plus ses personnages en enfer, et le "ridicule" devient terriblement cruel et génial.<br /> <br /> <br /> Je trouve que la saison 5 continue la bonne lignée de la Saison 4, à la fois crue, drôle, et terriblement flippante. Je ne dirais pas par contre qu'on a d'un coté de la daube, de l'autre un truc<br /> absoluement merveilleux. Jamais je ne dirais de Weeds que c'est une daube.<br /> <br /> <br /> En attendant, je pense, et j'espère, que toute cette histoire finira très mal, le cercle viscieux étant chaque saison un peu plus noir.<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> La première phrase du billet est juste parfaite et répond à l'avance au critiques sur la place dans le classement. C'est juste la série la mieux dialoguée de la télé US actuellement. Donc oui,<br /> pour qu'elle ne soit "que" quinziéme, faut vraiment que la cohérence de l'intrigue et des personnage soit une catastrophe ce qui est le cas. Parfois, on a envie de massacrer la série tellement<br /> elle se fout de notre gueule: le gros problème, c'est que le plaisir qu'on prend devant le burlesque des situations et la finesse des dialogue est parallellement monstrueux, au point qu'on ne<br /> peut pas se résoudre à lacher la série coupable d'égarement.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Entièrement d'accord avec ton billet. H'ai particulièrement aimé ce que tu as dit sur Andy, ça m'a fait plaisir, c'est mon préféré.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> @ Blurp. Alors plusieurs points. D'une part, l'idée de ce classement est quand même de faire un tour d'horizon - non exhaustif - de toutes les séries qui ont fait parlé d'elle. Des séries comme<br /> Glee ou Melrose Place, quelque soit leur qualité, se doivent donc d'y être. Car au final, les "bonnes series" que tu cites, ce sont tes gouts personnels. Beaucoup de gens m'ont reproché de pas<br /> avoir mis Glee dans le top 10, donc c'est une question de gouts.<br /> <br /> <br /> Ensuite, j'inclus aussi des séries méconnues du grand public contrairement à ce que tu dis, comme How to Make it in America ou encore Psychoville.<br /> <br /> <br /> Sur les séries oubliées que tu cites, déjà un bon nombre seront présentes dans la suite du classement ;-) ! Sur les sitcoms, c'est plus compliqué, car il est trés difficile de parler d'une<br /> sitcom. Dans l'article sur 30 rock, j'ai en évoqué un bon nombre mais je ne peux pas toute les mettre dans le classement. J'adore Parks par exemple mais elle n'est pas le classement (peut être<br /> l'année prochaine ?) car 40 séries c'est finalement beaucoup et pas assez à la fois. Il faut bien faire un choix. Et puis, je ne regarde pas tout non plus, c'est un classement personnel après<br /> tout !<br /> <br /> <br /> Et puis tu parles de bonnes séries oubliées, mais tu m'excuseras, une série comme Dollhouse qui est une daube innomable, c'est vraiment pas une grande perte ! Même dans les comédies, Hung et<br /> Bored to Death auraient loin d'avoir trusté le top du classement. Même une série comme The Pacific a beaucoup déçu, donc encore une fois, tu parles de tes gouts persos comme "bonne série", il n'y<br /> a pas de vérité générale.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et sur Weeds, j'attends que Boodream vienne me défendre ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Je suis plutôt d'accord avec la critique et cette quinzième place est justifiée quand on voit quelles sont les séries situées derrière.<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Cole tu t'es surpasser pour ce classement ! Lol. Je dis ça d'un ton ironique bien sûr. Non mais franchement, après le coup de Melrose Place que j'ai au final accepter avec tes très bonnes<br /> justifications, puis celui de Monk qui me reste en travers, et puis la place scandaleuse de Fringe qui se retrouver derrière... Weeds ! Non quand même la place n'est pas mérité ! Mais bon, en<br /> tout cas tu fais les états de service d'une série qui n'a au final jamais été un chef d'oeuvre mais une série estivale. Qui dit estivale dit sans prise de tête, drôle, subversive et sans grand<br /> intérêt. Cependant je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis. J'aime beaucoup ces petites références sous forme de pique bien avancé envers Télé 7 Jours et Hartley coeur à vif qui a<br /> vraiment du te traumatisé j'ai l'impression. En tout cas Weeds restera une série savoureuse malgré tout, un guilty pleasure bien formé et bien écrit, toujours teinté de ses phrases les plus<br /> piquantes et de sa Marie Louise Parker toujours plus dénudée dans chaque saison. Bientôt, le porno ! En fait, il ne reste que ça au final comme étape à franchir après le coup de la levrette dans<br /> la cuisine.<br /> <br /> <br /> <br />
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O
<br /> <br /> 15e place pour Weeds ? non vraiment, ca ne le merite pas.<br /> <br /> <br /> Enormement decu par les 2 dernieres saisons. Ce n'est plus les personnages qui ont montré leur limite mais toute la série.<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Il reste 14 places à distribuer.<br /> <br /> <br /> Ca veut donc nécessairement dire que vous n'avez pas vu pas mal de bonnes séries alors que -no offense- il y'a pas mal de daubes débusquées dans le classement jusque là. Les reconnaitre c'est<br /> bien, mais regarder de meilleures séries c'est mieux.<br /> <br /> <br /> Car entre les séries de la CW (Melrose Place, Gossip Girl) et les séries girly du classement (Cougar Town, Life Unexpected, Glee, Desperate Housewives, Grey's Anatomy, Parenthood, etc), il n'y a<br /> plus beaucoup de place. Ca ne serait pas grave s'il restait 24 places à distribuer, mais il en reste seulement 14, donc il y'aura beaucoup de casse parmi de bonnes séries qui seront donc<br /> injustement oubliées.<br /> <br /> <br /> Il y'a peu de comédies jusqu'à présent. Je suppose donc que votre classement ne parlera malheureusement pas de Hung, Bored to Death, Archer, Party Down, Community, The Office, Parks and<br /> Recreation, Better Off Ted et Curb your Enthusiasm. Je laisse une petite piàcette sur The Big Bang Theory et Modern Family, elles sont assez grand public et populaires pour être placées, à mon<br /> avis.<br /> <br /> <br /> Les dramas ont une place importante dans le classement donc ma théorie, c'est qu'il y'azura les séries suivantes : Mad Men, The Good Wife, etc. Mais par contre, il y'aura pas de place pour toutes<br /> les séries : Caprica, Justified, The Pacific, Damages, Friday Night Lights, Dexter, Dollhouse, Lost, 24, Sons of Anarchy, True Blood et Breaking Bad.<br /> <br /> <br /> Elles méritent toutes des bonnes places, mais la moitié d'entre elles ne seront pas placés, malheureusement.  Dommage que vous vous soyez concentrés sur des séries ayant peu d'intérêt (et<br /> vous l'avez noté dans vos critiques) au lieu de passer directement aux bonnes séries dès la 30ème place par exemple, car c'est pas ça qui manque. Merci pour vos critiques cela dit.<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Excellente critique. Je suis d'accord du début à la fin, si ce n'est que je suis encore très fan de Celia malgré le grand n'importe quoi qui entoure son personnage et elle me manquera grandement<br /> en saison 6. Après, est-ce qu'une 15ème place est vraiment méritée ? Tout de même pas.<br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> 15ème place vraiment ?! Cole, t'as fumé ou quoi ? :D<br /> <br /> <br /> Sérieusement, cette saison était vraiment pas terrible, tout comme les 2-3 précédentes d'ailleurs. La série a suivi le chemin de Nip/Tuck (en moins pire tout de même) c'est à dire qu'elle essaie<br /> chaque année d'être plus trash, ça en devient pathétique.<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Chaque fin de saison je me dis stop. Et l'an d'après je replonge ! Comme pour Desperate Housewives ! <br /> <br /> <br /> Excellent billet sinon !<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Canal / Jimmy = même groupe, aucune raison que cette 2e fenêtre soit supprimée ;)<br /> <br /> <br /> <br />
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N
<br /> <br /> Tu résumes bien mon sentiment aussi.. La série n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était lors des 2 premières saisons mais elle est devenu un "guily plaisure", un grand n'importe quoi sans queue<br /> ni tête qui arrive malgré tout à remplir sa nouvelle mission : nous vider l'esprit pendant 30 min, et c'est déjà pas mal...<br /> <br /> <br /> <br />
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E
<br /> <br /> Pas Canal, j'espère que Jimmy continuera de la diffuser en clair !<br /> <br /> <br /> <br />
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